Daphne Rhysand
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| Sujet: shades of magic ( daphne ) Jeu 7 Fév 2019 - 21:00 | |
| DAPHNE RHYSAND- cause i'm fearless, nothing that can break me -good beginnings - âge et lieu de naissance: vingt-sept ans, née le 9 juillet 1991 à brighton. - origines et nationalité: un accent légèrement prononcé, les sonorités qui roulent sur sa langue, son teint frais rappelant la douceur romantique de la france. amer souvenir d’une rencontre électrique entre Delilah, jeune française pleine d’espoir et d’ambitions, et Tom, l’étranger venu d’Angleterre, à la recherche d’une vie nouvelle. - statut familial: Daphne a toujours vécu dans le manoir familial de son père, les Rhysand. Famille au fort caractère patriarche, dirigée par le grand-père d’une main ferme et d’un regard d’acier, Daphne vivait dans une cage dorée. À défaut de connaître sa mère, sa grand-mère lui donna son éducation, et ses punitions. Mais vivre sous le même toit que son père n’implique pas le connaître, malgré les nombreuses tentatives d’une jeune Daphne désireuse de connaître un quelconque amour paternel. Fut un temps où des rumeurs couraient sur sa mère, proclamant sa fuite devant les responsabilités maternelles, ou alors sa mort du haut du manoir des Rhysand, ne supportant pas cette famille de marbre. Mais jamais personne n’a voulu l’éclairer sur ce sujet, la mère de Daphne restant un secret bien gardé qui lui est encore impossible à percer. - statut civil: aux yeux de tous, elle a tourné la page. moved on. une petite vie parfaite, avec un homme qui semble la satisfaire dans tous les domaines. et peut-être qu’elle aime, et qu’elle a un semblant de bonheur. la solitude lui pesait un peu trop sur le cœur, et la vie en couple lui apporte une distraction volontiers appréciée. - occupation: Daphne semble suivre les traces de sa mère sans même s’en rendre compte. Petite, elle ne supportait déjà pas l’injustice, envers ses amis, envers son père incompréhensif mais meurtri, envers elle-même. Maintenant en âge d’avoir les connaissances nécessaires, elle est depuis deux ans avocate du diable, défendant les causes perdues et les terreurs impardonnables, car chacun a droit à une seconde chance, même la plus moisie des pourritures. - cinq choses favorites: ( les draps frais ) alors que l’air l’étouffe et que les gouttes de chaleur menacent de l’inonder, elle aime se blottir dans les draps frais de son lit encore défait du matin. ( arthur, son chat ) petit minet au poil tigré, il aime s’étaler sur le sol chauffé par les rayons de soleil traversant les vitres des fenêtres de son petit appartement. encore petit pour un chat de trois ans, il remplit ses moments de solitude et aggrave ses excès de colère, mais toujours il la fait fondre quand il vient se blottir contre elle pour dormir. ( la plage ) le sable chaud qui se glisse entre les orteils, qui reste sur les mollets, collés par l’humide transportée de la mer. parfois, elle revient encore se promener sur les plages de son enfance, et se remémore les souvenirs joyeux qui les accompagnent. les rires d’enfants perdus dans l’innocence, les sourires timides d’amoureux transis, la douleur d’un cœur brisé, la fraîcheur d’un renouveau. ( la danse ) Daphne n’a pas eu beaucoup de place pour exprimer sa colère et son ressentiment, sa joie et son bonheur, ses doutes et ses chagrins. l’expression d’émotions n’est pas commun chez les Rhysand, mais comment interdire à une petite fille de cinq ans de pleurer quand on est triste. alors on l’a inscrite à un cours de danse, car c’est sophistiqué et ça ne fait pas tâche dans le beau portrait de famille. elle aurait pu devenir une danseuse étoilée, touchée le ciel et briller dans les cieux si elle n’avait pas eu d’autres ambitions en tête. ( wylan ) elle l’a aimé, et son amour était aussi fort que les ténèbres engloutissant la mer par un soir de tempête. elle l’a aimé d’un amour profond et sincère, et sa perte lui a brisé le cœur d’une manière qu’elle pensait incapable. elle l’a aimé, et l’aimera à jamais - saison préférée: le printemps et ses plantes bourgeonnantes, ses oiseaux qui sortent pour chanter à la lueur d’un soleil adouci par les fins nuages. l’air frais du printemps, comme un pont entre le vent glacial de l’hiver et la chaleur étouffante de l’été, lui rappelle une douceur depuis longtemps oubliée. la tendre mélodie de cet entre-temps lui remémore un temps révolu, des souvenirs interrompus par la brutalité de la vie. le printemps, cette bulle où tout revient à la vie. - traits de caractères: ( sensible ) derrière son expression de marbre indispensable en cour de justice, se cache un cœur tendre et des émotions en vrac. ( dévouée ) à ses clients, à ce qu’elle entreprend dans la vie, elle ne fait rien à moitié. ( bienveillante ) toujours à voir le bon côté des gens, quoi que ça lui en coûte. ( entêtée ) tenir bon à ses grand-parents n’est pas de tout repos chaque jour, mais sa ténacité leur porte à bout et les empêche de lui dicter sa vie. ( opportuniste ) dans son métier, elle cherche sa ouverture possible, et elle peut avoir tendance à répéter ce mécanisme dans sa vie personnelle. ( rationnelle ) parce qu’imaginer un monde meilleur jusqu’à ne plus avoir de forces ne change pas la réalité. - groupe: hydrangea - avatar: la magnifique astrid bergès-frisbey. all along it was your storySe perdre dans son embrasse, l’immensité du confort que lui offre ses larges épaules. Wylan et DaphneDeux noms entrelacés, deux amants aux mains ferrées. Leur histoire remonte à leur enfance, voisins au grand damne des grand-parents de Daphne. Une histoire tirée des romans d’amour qu’elle dévorait entre les quatre murs de sa chambre. Daphne, dans sa tour d’argent et de marbre, au teint de porcelaine. Wylan, garçon du village aux cheveux emmêlés par le vent et au pied marin. Issu d’une famille de navigateur, il était plus à l’aise sur le pont d’un bateau que sur la terre ferme. Camarades de classe, puis amis, ils devinrent inséparable. Il lui fit découvrir les plaisirs de la mer, le sable mouillé sous les pieds, les murmures du vent dans les falaises, les va-et-vient irréguliers des vagues sur la berge. Elle le suivait, s’accrochait à ses bras pour ne pas tomber et l’adorait comme elle adorait la chaleur des rayons de soleil sur sa peau et la brise dans ses cheveux. Lui, il était tombé si profondément qu’il n’en ressortirait jamais. Elle l’éblouissait, le rendait aveugle par sa simple beauté et pourtant il ne pouvait cesser de l’admirer. À une autre époque, les grand-parents de Daphne auraient très certainement réussi leur entreprise de les séparer, les empêcher de se voir et arranger la vie de la jeune fille comme bon leur semblait. Mais en ce temps, une telle manipulation leur était quelque peu irréalisable. Et Daphne était têtue, elle tenait bon aux propos rabaissants de sa grand-mère, aux menaces de son grand-père et à l’indifférence de son père. Rien ne l’empêcherait de voir Wylan, de l’aimer à sa manière et de vivre heureuse. Mais Wylan ne pouvait jamais rester trop longtemps sur la terre, et il partit un jour. Rempli de gaieté et de tristesse, il quitta Daphne. C’était pour seulement quelques mois, et elle l’attendrait. Parce qu’elle commençait à s’imaginer une vie avec lui, elle commençait à se voir, heureuse à ses cotés. Elle attendit, et la date passée, elle s’inquiéta. Plus les mois passèrent, plus son visage se creusait par la peur. Et les années passèrent, d’abord une, puis vint une deuxième sans nouvelle de Wylan ou de son père. La mère avait déjà fait son deuil, préférant les croire morts que vivre dans une inquiétude constante. Tout le monde avait fini par accepter qu’ils étaient morts, noyés au fond de la mer. Et le cours de la vie reprit, Daphne reprit ses études et devint avocate. Mais dans son cœur vit encore ce maigre espoir de revoir le visage halé par le soleil de Wylan. delilah et tom- background :
Delilah Feydeau et Tom Rhysand
Il était venu dans ce petit village côtier de France dans l’espoir de tout recommencer, d’effacer ses erreurs passées et d’écrire à nouveau son histoire, comme il l’entendait. Issu d’une famille à la fortune étouffante, tout était décidé, ses lettres écrites par son secrétaire à la virgule près, ses journées tracés au stylo dans son carnet. Parfois, même les battements de son cœur étaient programmés.
Alors il était venu se réfugier en France, une balade en bateau, une tempête et une embarcation jamais retrouvée. L’aide de son meilleur ami fut précieuse dans son évasion. Georges, trahi par la nature, d’une taille qui en faisait frémir d’horreur et de moquerie plus d’un, le suivait où qu’il allait. Plus fidèle que son ombre, il éprouvait pour Tom un amour sans failles ni barrières. Mais Tom, bien trop aveuglé par une amitié remontant à l’enfance, ne voyait rien des manœuvres jalouses et possessives de son ami. Jalousie qui lui causa sa perte.
Mais revenons-en à Tom, et sa fascination naissante pour la beauté printanière et rurale de la campagne française, et de ses habitants. Car ce qui attira avant tout l’œil du jeune anglais fut la jeune fille qui descendait de la voiture, un bouquet de fleurs à la main, agitant le bras vers un couple de personnes âgées. Dès ce moment, il sut qu’elle entrerait dans sa vie, et lui dans la sienne. Peu importe la manière, peu importe le temps que ça prendra, Tom pouvait presque voir le fil rouge qui s’étendait de son poignet jusqu’à celui de la jeune fille. Et il n’eut pas beaucoup à attendre, car être l’un des seuls étrangers dans un petit bourg de France ne lui permettait pas de passer inaperçu. Rapidement, il se retrouva à la rejoindre dans les coins reculés, des bottes de foin abandonnées dans le coin d’une grange, les branches d’un arbre assez large pour qu’ils puissent y grimper et admirer la vue d’en haut. Des baisers échangés, des mains baladeuses, un amour passionnel qui les consumait.
Quand Delilah tomba enceinte, la peur et l’excitation se lancèrent dans un duel enchainé, et son cœur s’enflamma. Tom tomba sur un genou, le cœur a ses pieds et à sa merci. D’un seul coup, elle pouvait l’achever comme le dresser jusqu’aux cieux. Il était prêt à tout pour elle. Oubliée sa vie passée, il avait bati un futur qu’il regardait avec des yeux brûlants d’envie. Un futur avec Delilah et le fruit de leur amour. Un amour apprécié par tous, haït par un seul. La jalousie lui rongeait le cœur depuis bien des années, et lorsqu’enfin, il ne restait plus rien à consumer, Georges joua son pion sur le plateau d’échecs qu’est la vie.
La famille Rhysand vint récupérer un fils qu’ils croyaient mort depuis longtemps. À leur plus grand bonheur, à son plus grand malheur. Des questions en suspens, des pleurs dans l’air, un départ précipité et Delilah se retrouva projeté dans un monde qui n’est plus le sien. Les Rhysand ne sont pas des gens amicaux, et la française n’est certainement pas le genre d’épouse qu’ils imaginaient pour leur fils unique. Que faire, ils restent dans la politesse, car ils sont une famille de gens bien élevés et dans les apparences trompeuses mais appréciables de tous. Et ils ne peuvent pas renier l’épouse de Tom d’un simple geste de la main, peu importe à quel point sa mère la dévisage d’un regard tranchant, et son père la méprise de toute sa hauteur. Loin de sa campagne bourgeonnante, dans le froid glacial du manoir des Rhysand, la dépression rejoint Delilah dans sa chambre vidée de toute émotion et réconfort. Son mari n’est plus, le Tom qu’elle connaissait en France semble avoir laissé sa place à un automate dirigé par ses parents. Ses maigres protestations n’ont duré que quelques semaines, et Delilah se retrouve seule dans un monde étranger. Et lorsqu’enfin, son enfant tant aimé et attendu arrive, il lui est arraché des mains, car il faut en faire un Rhysand, et la mère désemparée est renvoyée dans son pays de l’autre côté de la mère, avec pour seul adieu un regard dénué d’émotions d’un mari depuis trop longtemps disparu sous des exigences manipulées.
Les traits constamment plissés et le regard dur ont fini par avoir la santé du patriarche Rhysand. Mort d’une déficience cardiaque, la mère de Tom n’en devint que chagrin et aigreur. La mémoire lui fit défaut peu à peu. Et leurs emprises s’amincirent sur Tom, homme aux cheveux blancs de tristesse. Ridé par les secrets gardés, il y a longtemps qu’il ne fait plus son âge, autrefois bel homme, maintenant à la limite d’être appelé vieillard. Les regrets le rongent et il n’ose regarder sa fille dans les yeux depuis sa naissance, c’est à peine s’ils se connaissent. Il n’a jamais cherché à savoir ce qu’était devenu l’amour de sa vie, après avoir laissé ses parents la détruire.
who are you?- pseudo/prénom: queen(ie), mais marie ça l'fait aussi. - âge et pays: vingt ans, france. - type de personnage: inventé - votre avis sur le forum: trop beau - où avez-vous connu le forum: partenariat sur j'sais plus quel forum.. - autre: love
Dernière édition par Daphne Rhysand le Sam 16 Fév 2019 - 9:48, édité 9 fois |
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