good beginnings
- âge et lieu de naissance: vingt-cinq ans d'inutilités - origines et nationalité: français du côté de papa, anglais du côté de maman.  - statut familial: Pauvreté quand il décide qu'il en soit ainsi. - statut civil: célibataire parce qu'il y a rien de mieux que la liberté de l'air - occupation: pilote de courses illégales pour se sentir vivre - cinq choses favorites: 1.  Il aime fumer, toujours, tout le temps, de la clope, de l'herbe. 2. Il aime jouer de la guitare, c'est son truc à lui. 3. Il dessine beaucoup, un plaisir solitaire qu'il cache aussi, par pudeur. 4. Il aime l'odeur de la violette dans les cheveux des filles. 5. Il aime exagérer pour qu'on le remarque et se taire quand on attends qu'il parle. - saison préférée: l'automne pour toute sa mélancolie. - traits de caractères: Caractériel + Froid + Manipulateur: Capable de péter un plomb irrationnel quand il n’obtient pas ce qu’il veut. Il se met cependant dans des états douteux constamment pour tenter de se sentir vivre un peu. Les jeux d’esprit c’est son truc aussi, perturber les esprits avec sa face d’ange c’est ce qu’il fait de mieux. Même s'il fait tout pour ressentir la vie, il est très avare de sentiments et tout ce qui pourrait le rendre vulnérable. Au point de faire souffrir les autres. Sociable + Indépendant + Juste : Manipuler les autres, c’est forcément quelque chose qui l’a amené à être particulièrement sociable, alors il n’a généralement pas de mal à se faire des amis ou plutôt de nouvelles mauvaises fréquentations. Malgré tous ses défauts, il est cependant soucieux de ne jamais être injuste, c’est quelque chose auquel il tient. Il est très fidèle avec ses quelques amis.  - groupe: hydrangea - avatar: maxence danet-fauvel

all along it was your story

youth

Consumée jusqu'au bout, l'âme adorée du brun accueille les gratifications d'un œil satisfait. Digne fils de son père, disent certains. Il n'a que seize ans, on lui en demande beaucoup. Il a la douceur de sa mère, disent d'autres. Bercé entre la sécurité apparente et la violence intérieure, il sait servir les sourires aux bons moments et flatter les égos déjà débordants.
Bonjour, bonsoir, vous semblez radieuse aujourd'hui, la rosée s'en fait jalouse.
Puis, le regard sombre, il s'en retourne à ce qu'il accueille le mieux, l'approbation de son paternel. Mais il ne l'obtient jamais.

Alors, c'était gonflé d'orgueil et de prétention qu'il arpente les rues silencieuses et fumantes. Toujours à la recherche de ce qui l'anime avec tant de rage le jour pour le garder éveillé la nuit.
Romeo c'est ton nom ? Quelle ironie, lance une voix farouche dans le noir. Quelle ironie, oui.

boyish

Qui croyais-tu tromper ?
Toi ?
Moi ?
Les autres ?

La tête à l’envers, il se réveille sur son canapé, la tête et les sens encore marqués par l’ivresse. Et il dégueule dans sa poubelle. Il sait pas vraiment ce qu’il a fait, pourquoi sa chemise a rendue l’âme sous des tâches écarlates et des cendres éparpillées. Mais il a la vue psychédélique quand il regarde par la fenêtre.  
Aujourd'hui c'est le début de la nouvelle vie.
La vie seule. Loin de son père qui peut pas supporter sa tronche. Lui, le tueur de sa mère, il aurait jamais pu vraiment l'aimer.
Il a jamais supporté qu'il puisse vouloir faire autre chose de sa vie, vivre à cent à l'heure. Mais peu importe. Il a gagné sa course de la veille et il a bien fêté ça. Ouais, c'est bien tout ce qui compte. Non ?

stupid

Il s’est rendu minable dans une soirée branchée et finit échauffé dans une ruelle pourrie.

Cette soirée, c’est une putain de déception. Tout ça pour essayer de sauter la serveuse. La pseudo-vierge, ça l’a rendu encore plus insistant et elle a prit peur au premier contact buccal trop échaudé pour sa mine de saint-nitouche. Mais ça change des filles trop faciles.Les femmes, il les aiment trop pour s’en passer. Mais y'en a aucune - pas même cette débile de serveuse - qui lui fasse de l'effet comme elle lui en fait.

Imbibé, dégueulant d’alcool, la clope à la main quand il crache sur la gueule d’un mec qui l’a provoqué alors qu’il essayait de rentrer chez lui en titubant. « Hein ? Quoi ? Tu cherches ton maitre c’est ça ? » Il fait mine d’aboyer, ça le fait marrer. S’il a la pratique, ce soir, l’abus n’est pas d’humeur à le laisser s’en sortir.

Ça manque pas. Il décroche une droite d’ivrogne dans la figure de l’inconnu. Mais y’a deux autres gars qui se pointent et bien vite, Romeo se retrouve la gueule écrasée sur le pavé. Il rit pendant qu’il se fait tabasser, la gueule en sang, il en avale trop. Ça lui donne encore envie de vomir. Dans un gargouillis d’insulte, le mélange de salive et de sang. « Vous allez prendre tellement cher quand je vous retrouverai. », réussit-il à ricaner entre les assauts. Ça hurle dans la rue. Le mec se couche par terre mais y’en a toujours deux autres. Romeo, tabassé, somnole presque, à un point où il ressent pas vraiment la douleur.  Il espère planter ses doigts assez fort, jusqu’au sang. Autant que sa force alcoolisée le lui permet. Mais il y arrive plus, son corps déclare forfait. Il sait qu’il va pas crever. C’est un monarque, il peut pas crever comme ça. Alors, il ferme les yeux. Un instant.

Et il se dit que parfois, il aimerait arrêter de se battre.

Parce que le lyrisme ça va un temps:

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- pseudo/prénom: mohnstad - âge et pays: 24, FR vie - type de personnage: pré-lien - votre avis sur le forum: il m'a l'air très bien    - où avez-vous connu le forum: bazz - autre: C'est pas parce qu'on s'acharne que c'est bien