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Lorenzo Farnese a king in my own mind
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⋅ since : 27/02/2018
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| Sujet: lips of deceit Mar 27 Fév 2018 - 23:29 | |
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- lorenzo farnese - darkest burning stari. harness your blame, walk through- âge et lieu de naissance: La date de l’armistice pour faire écho aux origines. Onze novembre, sur le sol lombard. Gamin né à Milan juste après sa jumelle, avant dernier d’une fratrie de cinq. Vingt-deux années éclatées derrière toi, noyées sous les excès et la connerie. - origines et nationalité: Les oubliés des livres d’Histoire. Harlem Hellfighters arrivés en Europe en 1917 par milliers, et une poignée pour venir s’enterrer en Italie. T’as le sang mélangé, Lorenzo. Le scandale qui remonte à quatre générations, la mixité qui a gêné. Un visa longue durée pour le travail, mais les gestes et l’attitude qui viennent trahir l’identité. Italien lâché en Angleterre trop jeune. - statut familial: Duo inébranlable depuis des décennies. Duo à l’origine de cinq putain de marmots. Trois mecs, deux gonzesses. Fratrie entassée dans ce petit appartement délabré de Milan. Au milieu, le tandem éclatant. Renata et toi. Une âme dans deux corps. Deux mioches expatriés sur le sol anglais, alors que le reste traîne toujours en Lombardie. Éducation sous le joug religieux. Les cantiques entre les murs de l’église, et le cerveau formaté par le livre saint. - statut civil: Enfoiré de première. Petit connard au sourire immaculé qui joue de la gueule et de l’accent pour aligner les conquêtes. Des gonzesses juste pour le plaisir de la chair. Des gonzesses juste pour un seul passage. Jamais deux fois la même. Carcasse qui se glisse dans les draps, alors qu’elles cherchent juste à baiser un nom et un métier, plutôt que toi. Mais t’as le cœur nécrosé, Lorenzo. Myocarde gangrené par un désir que t’as de plus en plus de mal à réprimer. Les lèvres et le crâne qui se perdent contre sa silhouette masculine. Les songes en exil. La peur au ventre. Parce que c’est pas normal, putain. La maladie qui ronge. La maladie qui dévore. La maladie qui provoque le souffle, pourtant. Cinq lettres comme une provocation. Ronan et sa belle gueule. Ronan et ses yeux d’embrun. Ronan et le mal qu’il représente. - occupation: Le rêve de gosse effrité. À courir derrière le ballon sur les terrains goudronnés au bas des immeubles. À se prendre pour un petit empereur au milieu du bitume. Puis la passion qu’est devenue le métier, quand le talent a été remarqué. Premières années sous les couleurs milanaises. T’étais même pas majeur quand le club londonien Arsenal est venu te recruter. Part incontournable de cette nouvelle génération de joueurs en Premiere League. Et putain, tu te sentais invincible, Lorenzo. La place dans le onze de départ devenue évidence. Jusqu’à la chute. Jusqu’à l’erreur de trop contre le satin des draps. La mauvaise gonzesse. Le mauvais mari rendu cocu par tes mains. Prêté depuis un an et demi au club de Brighton, alors que le contrat avec les Gunners semble s’effriter de plus en plus. Et l’équipe nationale qui ne suffit pas pour essayer de gratter les dernières miettes de gloire. L’absence au Mondial, la honte au pays. Les mots acerbes des supporters italiens pour se glisser sous la peau trop sombre à leur goût. - cinq choses favorites: (football), Le cœur qui menace d’éclater. L’adrénaline quand les chants des tribunes résonnent dans le stade. Sentir le gazon sous tes foulées. La course effrénée jusqu’à sentir les poumons brûler. Passion de gosse devenu le métier d’un mec qui ne sait même pas être un adulte. La fierté de la famille, celui qui éponge les dettes en y passant presque la moitié de son salaire. T’étais encore qu’un gamin quand la célébrité est venu te cogner. Qu’un gamin quand la thune a commencé à s’accumuler. Et t’en es toujours un, Lorenzo. Un pauvre mioche qui tente de faire de son mieux avec ce statut que tu ne contrôles pas. L’argent qui sert principalement à la famille restée en Italie. Des dons de quelques milliers chaque mois à la communauté. Et les quelques billets restant pour soigner ton train de vie. (renata) La moitié. Le reflet comme dans un miroir. Elle sait tout, Ren. Les conneries qui s’accumulent et le mal-être qui dévore. La voix pour rassurer quand ta carcasse s’écroule. Les gestes pour guider. Unique détentrice des secrets et des maux qui rongent. (cleps) Les deux clébards considérés comme tes gamins. L’excès absolu quand ils sont concernés. Deux staffs répondant aux noms de Garrus et Thane. Une partie de ton salaire qui part pour le refuge du coin. Dogs over people, for sure. (chair) Nature de tous les maux. L’addiction malsaine. Les pensées brouillées par ta queue. Une paire de cuisses de différente à chaque échange lascif. T’es ce mec dans l’ombre, Lorenzo. La carcasse pour animer les mariages qui battent de l’aile. Pantin manipulé par un beau sourire et une belle paire de seins. Et même si t’iras pas le reconnaître à haute voix, ça te bouffe toutes ces conneries. Cette impression d’être un bout de barbaque pour le plaisir des autres. Pourtant, t’en redemandes. (lui) Son odeur. Son regard. Son sourire. Sa carrure. Ses encres. Sa voix. Ses lèvres. Ses mains sur ta peau. Putain d’irlandais pour venir défoncer la poitrine. Pour venir détruire les bases de ton existence. Le Seigneur regarde, Lorenzo. Il voit tes péchés et ton désir. L’envie au creux des reins. Trop violente. Trop malsaine. Tentation tellement débordante qu’elle irrigue le cœur. La volonté écrasée quand les doigts s’activent sur le tactile pour le provoquer. Ronan. Le divin qui provoque le mal. - saison préférée: La chaleur de l’été. Les rayons de soleil pour rappeler le pays. - traits de caractères: grande gueule, possessif, hautain, égocentrique, sarcastique, mesquin, menteur, control freak, confiant. - groupe: hydrangea. - avatar: reece king. ii. swing wide your crane, run me Le bout des doigts qui pianotent. Écho rythmique contre la table. Le souffle court. Les onyx plantés sur l’écran du portable. Miroir noir où tu peux discerner tes traits déformés par la fatigue. Les nuits blanches qui se succèdent. L’impossibilité de trouver le sommeil. La carcasse qui ne fait que se tourner dans les draps. Le peu d’énergie qui s’évade dans les entraînements sous le froid de l’hiver. La mâchoire serrée. Les dents qui grincent. La paume de la faible contre les yeux. Réveille-toi, bordel. Regarde-toi, à attendre comme un con devant ton portable. Tu crois vraiment que ta gueule est assez importante ? Mots devenus cantiques dans ton crâne. Répétés en boucle depuis des jours. Silence de plomb au travers du tactile. Des messages écrits. Des messages effacés. La peur au ventre de la fausse manipulation. La peur au ventre d’envoyer les mauvais mots. D’envoyer tout court. Il a déjà oublié, Lorenzo. T’es rien à ses yeux. Tu le sais, pourtant. C’est toujours la même chose. Pourquoi est-ce que ça ferait exception ? Le soupir pour border le bord des lèvres. Le dos qui s’écrase contre le dossier de la chaise. L’index de la dominante qui ose donner l’impulsion pour l’éveil des pixels. Cette même conversation relue en long et en large. Ces photos pour faire sauter le cœur dans ta cage thoracique. C’est bon, t’as fini ton cirque ? T’es pas une pédale, t’as compris ? T’as eu un moment de faiblesse. Tu t’es laissé entraîner par le mal. Referme ces putains de messages. Crâne balancé de gauche à droite pour tenter de faire taire le sifflement qui résonne dans la caboche. La tête prise entre les doigts de la main droite. L’impression de crever. Écrasé par le poids des regrets. Écrasé par le poids de son absence. Tout et son contraire. Tout et rien à la fois. Le pied qui tape nerveusement contre le carrelage. Le noir à nouveau. Le coup dans le portable pour le faire glisser de quelques centimètres. Hors de ta vue. Arrête de penser à lui. Arrête de te refaire la scène en boucle. Arrête de le vouloir. L’intérieur des joues emprisonné entre les molaires. Le crâne prêt à imploser. Les phalanges dans les mèches brunes. Cuir chevelu serré entre tes doigts. Tentatives veines de renvoyer la douleur ailleurs. Tu perds la raison, Lorenzo. Tu perds pied. La vibration. Le palpitant qui tressaute. Tu tournes la tête trop vite. Le sombre planté sur l’écran illuminé. Dominante tremblante pour s’en emparer. Hey mate, how are things in Brighton ? Le nom d’un ancien coéquipier à la place de celui espérer. Les nouvelles demandées depuis le club qui ne manque que trop. Le tout autre problème, que Ronan avait réussi à te faire oublier. iii. when eyes are all painted sinatra blue- pseudo/prénom: siren charms, wendy. - âge et pays: vingt-deux ans, france. - type de personnage: inventé. - votre avis sur le forum: jolem tellement fort . - où avez-vous connu le forum: bazzart. - autre: hésitez pas à me harceler pour des liens avec renzo .
Dernière édition par Lorenzo Farnese le Sam 2 Fév 2019 - 18:21, édité 5 fois |
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Edgar Smith vilified, crucified, in the human frame
⋅ paper notes : 1201
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| Sujet: Re: lips of deceit Mar 27 Fév 2018 - 23:35 | |
| reece king, je. - Lorenzo Farnese a écrit:
- les afro-américains restés en Europe après la Première Guerre Mondiale
tiens, cette anecdote ne me surprend absolument pas. c'est bien une référence aux harlem hellfighters ou je dis une bêtise ? rebienvenue. |
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Lorenzo Farnese a king in my own mind
⋅ paper notes : 1414
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| Sujet: Re: lips of deceit Mar 27 Fév 2018 - 23:47 | |
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Invité Invité
| Sujet: Re: lips of deceit Mar 27 Fév 2018 - 23:50 | |
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Jazz Eaton
⋅ paper notes : 841
⋅ since : 03/02/2018
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| Sujet: Re: lips of deceit Mer 28 Fév 2018 - 0:08 | |
| omg Reece + toi + le personnage qui se dessine Tu m'réserve un lien, hein ? Rebienvenue ici et bon courage pour cette fiche |
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Invité Invité
| Sujet: Re: lips of deceit Mer 28 Fév 2018 - 0:24 | |
| Rebienvenue parmi nous avec ce nouveau personnage . |
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Invité Invité
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Invité Invité
| Sujet: Re: lips of deceit Mer 28 Fév 2018 - 3:38 | |
| Rebienvenue |
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Invité Invité
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Invité Invité
| Sujet: Re: lips of deceit Mer 28 Fév 2018 - 12:14 | |
| Quelle beauté Rebienvenue !! |
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Hana Golightly books, flowers and the moon.
⋅ paper notes : 7543
⋅ since : 04/11/2017
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| Sujet: Re: lips of deceit Mer 28 Fév 2018 - 12:31 | |
| Reece est un super choix, et le personnage promet trop. Re bienvenue a la casa Wendy. |
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Cameron Blake
⋅ paper notes : 302
⋅ since : 25/02/2018
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| Sujet: Re: lips of deceit Mer 28 Fév 2018 - 12:37 | |
| Rebienvenue |
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Invité Invité
| Sujet: Re: lips of deceit Mer 28 Fév 2018 - 14:19 | |
| Rebienvenue chez toi |
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Invité Invité
| Sujet: Re: lips of deceit Mer 28 Fév 2018 - 19:31 | |
| Rebienvenue Lorenzo |
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Invité Invité
| Sujet: Re: lips of deceit Mer 28 Fév 2018 - 19:39 | |
| J'imagine tellement Renzo dans la bande de Liv Dommage que Lolo en fasse déjà partie, ça aurait pu être drôle ! en tout cas bienvenue avec ce nouveau personnage trop cool ! |
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Invité Invité
| Sujet: Re: lips of deceit Jeu 1 Mar 2018 - 11:20 | |
| bienvenue par ici. |
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Invité Invité
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Invité Invité
| Sujet: Re: lips of deceit Ven 2 Mar 2018 - 22:59 | |
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Teddy Walsh
⋅ paper notes : 1572
⋅ since : 24/12/2017
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Lorenzo Farnese a king in my own mind
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| Sujet: Re: lips of deceit Dim 4 Mar 2018 - 10:59 | |
| vous êtes trop adorables, merci beaucoup |
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| Sujet: Re: lips of deceit | |
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