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Invité Invité
| Sujet: si je mens je vais en enfer (mathilde) (délai : 26-07) Lun 16 Juil 2018 - 19:59 | |
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- mathilde sage edinson - et j'ai pas le temps, de me laisser envahir par les faux sourires i. harness your blame, walk through- âge et lieu de naissance: 31 étoiles. Elles sont belles. Se reflètent sur les rives de la Seine. Elle aimerait se pencher pour les cueillir du bout des doigts et les étaler contre le nacre de sa peau. Briller comme une étoile. Exister au creux de ses paupières. Le 8 janvier 1987 à Paris, sous l'ombre de la dame de fer - origines et nationalité: bleu - blanc - rouge. La fierté du coq sur les mailles du tissu. La deuxième étoile sur le maillot. Les cris et les klaxons résonnent encore dans ses tympans. 1998 - 2018. 20 ans après. Mathilde, elle est fière de ses origines françaises. Elles s'amusent au possible des clichés. Une baguette de pain s'il vous plait ? Puis elle enfile son béret pour vagabonder à vélo contre les pavés parisiens sans pour autant oublier les pétales fébriles de la rose. Elle éclos dans son coeur au rythme des vagues. Australiennes par sa mère, elle aime écouter l’écho de son accent, comme un vieux 35 tours usé par le temps. - statut familial: Elle se pensait fille unique. Jusqu'à ce qu'elle tombe sur ses écrits. Mais l'arrondi des lettres lui ont donné le vertiges, au point de fermer les pages pour ne plus jamais les ré-ouvrir jusqu'à ce que la curiosité au fond d'un verre, au coeur d'une pilule ou sous les vapeurs d'un joint ne lui fasse changer d'avis.- statut civil: Célibataire. Le véritable amour n'existe pas. Un mot de liaison. Une simple fantaisie des hommes de lettre. Parce qu'il fallait bien trouver un sujet qui fait vendre. Mathilde, elle croit en l'instant. Amoureuse de la magie éphémère d'une aventure sans lendemain. L'indépendance qui colore ses lèvres, le souffle de la liberté qui éveille son épaisse chevelure dorée. Un seul a réussi à rendre la magie d'un premier rendez-vous au second, puis un troisième ... jusqu'à ce que la flamme ne s'amenuise au creux de ses cils. - occupation: Son père a voulu faire d'elle un esprit des lumières. Une femme capable de diriger les hommes du quatre coin du monde. La main ferme et le regard vitreux. La langue venimeuse. Il a voulu qu'elle suive ses traces. Qu'elle étudie le droit et les relations internationales. Qu'elle sache persuader les foules sans même a ouvrir la bouche. Alors Mathilde elle a essayé. Sans poser de question, parce qu'elle n'arrivait pas à trouver sa place. Elle a intégré une prestigieuse école Paris 2 – Panthéon Assas. Elle a eu sa licence, pour ensuite tout plaquer et aller cueillir des fraises en Australie, sur les traces de sa mère. Elle l'a retrouvé durant une année. Mais le temps a effacé les souvenirs et l'affection. Le lien s'était rompu entre les écumes océaniques. Puis, elle est devenue chroniqueuse dans une émission de divertissement - cinq choses favorites: Liberté. Elle chérie son indépendance. Frivole et aussi légère que le vent, elle n'a jamais supporté l'autorité. Elle se laisse porter par l'instant présent sans penser aux conséquences des lendemains. Le sport La dépendance. Se besoin de se sentir en vie et de se dépasser quitte à en perdre son souffle. Paris Elle est amoureuse de sa ville natale. Des quais de Seine. De cette grande dame de fer qui scintille les nuits d'été. De la diversité qui déambule dans aux quatre coins de la capitale. Ce petit café dans le 8ème qui fait l'angle de la rue. Se perdre dans les allées des musées durant les nocturnes. Les photos L'instant figé sur papier glacée. Elle ne quitte pas son polaroïd qui l'accompagne n'importe ou. Les films d'horreurs Une grande adepte des frissons. De l'angoisse qui monte et fait battre le palpitant. vélo et le métro L'esprit écolo. Elle n'a jamais voulu passer son permis. - saison préférée: L'été. Lorsque la terre blanchie et déchirée semble se soulever pour chercher un souffle de fraîcheur. Mathilde elle aime ces journées à rallonge. Lorsque par les soirs bleus d'été, la dame de fer s'habille de sa parure scintillante. Lorsque l'air marin fouette son visage entre deux horizons encore étrangers. Pas un nuage, pas un brin de vent qui brise cet azur implacablement lisse seul le bruit des mouettes rieuses fait échos entre les branches enneigé des sapins. Une promesse que son été reviendra. Tôt ou tard. - traits de caractères: attachante, sensible, drôle, impatiente, insolente, courageuse, généreuse, ouverte d'esprit, sportive, séductrice, confiante, têtue, souriante, dynamique, nerveuse, dépressive, insouciante, bornée, égocentrique = bipolaire - groupe: Celosia - avatar: Behatin Prinsloo ii. swing wide your crane, run meAlex Ferguson - L'université. Les folles années. Les rencontres. C'est sur le pallier d'une porte que nos chemins s'étaient croisés. La nuit ou le matin. Peu importe. Il était là avec ses valises à chercher sa chambre dans cette immense couloir. Jusqu'à la trouver. Face à la mienne. Les cheveux désordonnés. Le regard brillant, je souriais en le voyant si discret et gêné, la main tremblante contre le bois de la porte jusqu'à retirer le chouchou autour de la poignet. Intrigué. A ta place, je rentrerais pas là-dedans riais-je, l'haleine alcoolisée. Mais c'est ma chambre dit-il avec l'innocence provinciale. Son accent me fit sourire. J'arquais un sourcil en m'avançant presque déséquilibrée. J'attrapais le chouchou rose qu'il tenait fermement entre ses doigts. Et ça, c'est mon chouchou. Ton colocataire est surement en train d'intégrer ma colocataire soufflais-je en accrochant l'élastique autour de son poignet Bienvenue à Paris. T'es surement pas du coin. Viens, je vais t'expliquer la vie mais il ne m'avait pas écouté. La curiosité trépignante, il avait ouvert la porte pour faire face à la réalité. Un homme. Une femme. De l'alcool et une jeunesse désabusé. Je t'avais prévenu. ajoutais-je en tournant les talons pour entrer dans ma chambre suivis d'un pas pressé. Tu peux dormir ici, elle rentrera pas de la nuit .
Se fut ma première rencontre avec Alex. Depuis ce soir-là, nous ne nous étions plus quitté. Une amitié créée sur les bancs de l'université qui avait perduré malgré le commencement de notre nouvelle vie. Il était différent des autres. Un homme avec les pieds sur terre et des valeurs différentes, loin de la jeunesse dorée qui avait édulcoré mes tendres années. Nous étions complémentaires lui et moi. Il était sage et raisonnable. J'étais dévergondé et égocentrique. Le jour et la nuit. Le feu et la glace. Pour autant, sa compagnie m'était devenu nécessaire. Une constante dans une vie semée de virage. Loin des yeux. Loin du coeur. Ce dicton n'avait jamais été si faux lorsqu'il s'appliquait à une amitié comme la notre. Une amitié capable de traverser les frontières, lorsque perdue au fin fond de l'Australie, j'avais eu besoin d'une épaule sur laquelle pleurer. Alex était l'homme de ma vie dans un autre monde, une autre galaxie, un autre espace temporel. Ici, il n'était qu'Alex. Mon meilleur ami.
Teddy Walsh - L'hiver avait habillé Paris de sa froideur. Les visages étaient crispés et effacés. Les sourires fanés aux coins des rues. Derrières les vitres du métro. Mais je savais que dans quelques instants, tout ceci ne serait que le contexte narratif, certes ennuyeux, de notre histoire. Dans quelques instants, je retrouverais ses bras chaleureux. Le temps d'une nuit. Le temps d'une semaine jusqu'à ce que nos souffles s'épuisent à nouveau dans cet amoureux malsain. Nous nous étions déjà quittés un millier de fois, pour se retrouver entre deux avions. Mais la sensation était toujours la même au fond du coeur. Un pincement tant douloureux qu'il ne trouvait son remède qu'au fond de ses yeux. Au bout de ses doigts. Notre attache semblait intemporelle. Presque une malédiction. Nous nous aimions à contre courant. Deux parias de l'amour, incapables de savoir y faire avec ces sentiments trop puissants. Ce soir là n'avait pas échappé à la règle. La nuit entre ses draps, puis la déchirure au petit matin. Il devait partir et la distance était inconcevable. L'amour aussi fort que nos voix qui résonnait dans tout l'arrondissement. J'aurais aimé le retenir. Lui dire que tout était possible lorsque nous étions là, l'un pour l'autre. Mais je ne le fis pas. Lasse de ces disputes. Lasse de la solitude qui m'envahissait la seconde suivante. Peut-être que c'est aussi ça l'amour, savoir laisser partir l'autre au bon moment. Arrêter de se faire du mal une bonne fois pour toute. La passion était fantasque. Bien trop littéraire pour que l'être humain la supporte n'est-ce pas ?
(++) (1) La mère de Mathilde les a abandonné alors qu'elle n'avait que 8 ans. Elle a vécu et ses construire auprès de son père, brillant ténor du barreau de Paris. Derrière ses allures strictes et rustiques, il a beaucoup de tendresse pour sa fille bien qu'il a du mal à l'affirmer. Pourtant, Mathilde s'est toujours sentie opprimé. Elle n'a jamais eu soif de pouvoir et de toute ces mondanités dans lesquelles elle a grandi. Mathilde elle ressemble à sa mère. l'esprit pur et volage. La liberté au bout des doigts, elle a besoin de s'exprimer sans pour autant penser aux répercussion de ses mots. C'est un esprit libre qui voyage au contact des autres. (2) Elle ne tient pas en place. Elle a fait des études mais n'a jamais trouvé sa place. Qui elle est. Rapidement lassée par la monotonie, elle a ce besoin constant de changer d'air. De vie. Du jour au lendemain au détriment de ses attaches. Sur un coup de tête, elle est capable de partir à l'autre bout du monde. Elle l'a déjà fait. Mais Paris restera toujours la ville de son coeur. Sa seule constante. (3) Elle saisie toutes les opportunités qu'on lui présente, ce qui l'a conduit à faire les choses les plus loufoques qui soit. Elle a intégré une compagnie de cirque itinérante, était l'une des ces infirmières qui sert les plus gros hamburger à Las Vegas. Fait la tournée des festivals jusqu'à s'essayer en tant que DJ... Son père n'a pas réussi à faire d'elle une éminente avocate, mais elle a ce je ne sais quoi qui déplace des foules. Qui fait qu'on s'accroche à elle sans aucune raison. (4) Elle vie dans un hôtel. La peur de s'attacher à nouveau. La peur que la routine s'installe. D'ailleurs, elle ne conserve jamais le même hôtel plus d'un mois. Elle aime découvrir du monde. (5) Elle n'a pas de voiture. Elle vous dira que les moteurs détruise le monde et ses merveilles mais elle l'a raté trois fois. Aujourd'hui, elle s'en accommode et ne veut plus en entendre parler. Elle se plait à utiliser les transports en commun, quand bien même il lui arrive de faire du stop. (6) Aujourd'hui chroniqueuse dans une émission de divertissement, elle ne garde jamais bien longtemps son métier. Elle n'a jamais trouvé sa voie, celle qui la fait vibrer. (7) La seul fois ou elle a aimé un homme, elle a prit peur, incapable de savoir comment gérer ses sentiments. L'amour ça lui fait peur à Mathilde. Les psychologues diraient qu'elle souffre du complexe de l'abandon. (8) Elle a essaye de retrouver sa mère. Idéaliste dans l'âme, elle avait imaginé les retrouvailles comme dans un conte de fée, mais ça ne s'est pas passé comme elle aurait espéré. Aussi libre qu'elle, sa mère ne l'a pas retenu, préférant fouler les vagues d'Australie et entrer en communion avec la nature. (9) Bipolaire, elle prend des médicaments pour gérer ses émotions et ses sautes d'humeur, mais il lui arrive souvent de les oublier.
iii. when eyes are all painted sinatra blue
- pseudo/prénom: cass. - âge et pays: j'assume pas de passer ce palier. Le pays aux deux étoiles - type de personnage: inventé - votre avis sur le forum: gros c'est la puissance - où avez-vous connu le forum: Nono - autre:
Dernière édition par Mathilde Edinson le Dim 22 Juil 2018 - 12:10, édité 26 fois |
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Invité Invité
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Invité Invité
| Sujet: Re: si je mens je vais en enfer (mathilde) (délai : 26-07) Lun 16 Juil 2018 - 21:35 | |
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Lisa Ferguson
⋅ paper notes : 1620
⋅ since : 17/12/2017
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Teddy Walsh
⋅ paper notes : 1572
⋅ since : 24/12/2017
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| Sujet: Re: si je mens je vais en enfer (mathilde) (délai : 26-07) Lun 16 Juil 2018 - 22:50 | |
| behati est parfaite, puis une française hâte de lire la suite ! puis rebienvenue à la maison |
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Marlene Kenway am i better off in chains ?
⋅ paper notes : 850
⋅ since : 07/04/2018
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| Sujet: Re: si je mens je vais en enfer (mathilde) (délai : 26-07) Mar 17 Juil 2018 - 0:53 | |
| rebienvenue ? mais qui es-tu j'ai hâte d'en lire plus |
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Invité Invité
| Sujet: Re: si je mens je vais en enfer (mathilde) (délai : 26-07) Mar 17 Juil 2018 - 9:25 | |
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Invité Invité
| Sujet: Re: si je mens je vais en enfer (mathilde) (délai : 26-07) Mar 17 Juil 2018 - 10:42 | |
| bon retour parmi nous et bonne chance pour ta fiche |
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Ryn Malone
⋅ paper notes : 266
⋅ since : 06/07/2018
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Invité Invité
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Invité Invité
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Invité Invité
| Sujet: Re: si je mens je vais en enfer (mathilde) (délai : 26-07) Mer 18 Juil 2018 - 9:21 | |
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Invité Invité
| Sujet: Re: si je mens je vais en enfer (mathilde) (délai : 26-07) Mer 18 Juil 2018 - 10:09 | |
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Invité Invité
| Sujet: Re: si je mens je vais en enfer (mathilde) (délai : 26-07) Mer 18 Juil 2018 - 16:30 | |
| Rebienvenue à toi |
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Ivy Rhodes
⋅ paper notes : 404
⋅ since : 27/05/2018
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| Sujet: Re: si je mens je vais en enfer (mathilde) (délai : 26-07) Mer 18 Juil 2018 - 18:30 | |
| bienvenue. |
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Rami Saab
⋅ paper notes : 348
⋅ since : 23/06/2018
| Sujet: Re: si je mens je vais en enfer (mathilde) (délai : 26-07) Ven 20 Juil 2018 - 21:19 | |
| la fais pas dentiste |
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Invité Invité
| Sujet: Re: si je mens je vais en enfer (mathilde) (délai : 26-07) Ven 20 Juil 2018 - 21:23 | |
| LA FAIS PAS DENTISTE |
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Invité Invité
| Sujet: Re: si je mens je vais en enfer (mathilde) (délai : 26-07) Sam 21 Juil 2018 - 5:50 | |
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Invité Invité
| Sujet: Re: si je mens je vais en enfer (mathilde) (délai : 26-07) Dim 22 Juil 2018 - 0:50 | |
| - Alastair Winnifield a écrit:
- han mais je t'ai pas reconnue chaton
t'inquièèèèète prends ton temps t'es trop belle encore une fois pfff tu m'as pas reconnue honte à toi - Charles Burgess a écrit:
- Rebienvenue à toi
Merci mon chat - Ivy Rhodes a écrit:
- bienvenue.
merci - Joey Kane a écrit:
- la fais pas dentiste
- Mattias Ortega a écrit:
- LA FAIS PAS DENTISTE
- Nash Kershaw a écrit:
Salut toi. Ton délai de cinq jours est dépassé, et ta fiche est donc maintenant une fiche en danger. Tu as deux jours pour nous demander un nouveau délai, sinon, ta fiche sera archivée, et ton compte supprimé. Si tu as besoin d'un nouveau personnage pour l'inspiration, n'hésite pas à en changer. On ne t'en voudra pas. À très vite, je l'espère. @Nash Kershaw Je suis tellement désolée, j'ai pas eu le temps cette semaine, le taf, les sorties, la plage, shame on me j'essaie de finir demain, mais je veux bien un petit délai au cas ou s'il te plait |
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Invité Invité
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| Sujet: Re: si je mens je vais en enfer (mathilde) (délai : 26-07) | |
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