- victoria hopkins -
and I'm not going home with you, home with you

- âge et lieu de naissance: vingt-sept ans, la jeunesse lui file entre les doigts, comme de la poussière fine et volatile. comme sa mémoire. born and raised, victoria est née et a toujours vécu à brighton. ses étés étaient rythmés par ces soirées au bord de l'eau, à braver le vide au sommet de la grande roue. brighton rime avec maison, elle ne s'imagine pas ailleurs. - origines et nationalité: les horizons colorés de la grèce bercent ses origines. le soleil se lit dans ses prunelles vertes, dans son sourire, dans sa générosité. la mer egée s'étend devant elle, comme dans un rêve parfois. pourtant, c’est à brighton qu’elle a grandi. au bord d’une mer un peu trop fraîche, et d'un ciel souvent gris. elle a couru, dans les rues goudronnées, loin des terres singulières de santorin, loin d’un océan culturel chaleureux. anglaise par son père, elle tient ses traits de lui. de son sourire à ses yeux, de son goût prononcé pour le thé à son humour très british. sa sœur a hérité des traits sensuels et du caractère bien trempé de leur mère. une grecque tombée amoureuse d’un anglais. une histoire d’amour sans fin et sans faille. victoria porte fièrement ce mélange culturel. - statut familial: la benjamine, la petite dernière, choyée à outrance. un statut de privilégiée, dont elle a abusé. un cookie par là, une robe par ci, une faveur ici et là. elle en jouait, vicky. c'était si facile. un simple battement de cils, une moue boudeuse, et le tour était joué. pourtant, elle admirait sa mère et sa soeur, avec ses grands yeux émerveillés. des modèles de toujours. les cavendish sont cette famille unie, soudée et bercée par un amour inconditionnel et fort. le genre de famille qu'on imagine dans les films ou les romans. - statut civil: madame hopkins, la femme du célèbre écrivain, celui aux milliers de livres vendus. elle l'aimait, quand son livre n'était qu'un prototype, quand il foulait le seuil du café où elle travaillait pour trouver l'inspiration. elle l'aimait avant les autres, avant la notoriété et la pression. l'alliance enroule son doigt depuis maintenant quatre ans. quatre années d'amour, de douceur. dans ses souvenirs, en tout cas. - occupation: maîtresse d'école, pour des maternelles qui lui mettent du baume au coeur. ils la régalent avec leurs histoires et leurs rires cristallins. un métier qu'elle a choisi, par vocation, parce que sa place est auprès des enfants. - cinq choses favorites: (1) la barbe de trois jours de clay, rêche et piquante contre ses mains, ses joues, l'intérieur de ses cuisses. cette sensation unique qui ne lui appartient qu'à elle, et elle uniquement. ses doigts cherchent constamment à happer, caresser, jouer. elle le taquine quand il se rase. ça le rend jeune, juvénile, l'air enfantin. mais elle, elle le préfère avec cette barbe clairsemée et rugueuse. (2) ses souvenirs. les vieux, comme les récents. ceux qui bercent sa mémoire d'un doux parfums de nostalgie, qui la rendent humaine et sereine. ceux qu'elle a oublié, qu'elle ne retrouvera peut-être jamais. cette foule de lieux, d'endroits, de gestes et de paroles, immortalisés sur du papier glacé ou un écran de téléphone trop brillant, gravés à jamais en elle. elle ne pensait pas qu'on pouvait lui enlever ses souvenirs, et pourtant. (3) a rainy day, un best-seller, une histoire d'amour romantique, presque banale mais si idyllique. le genre de coup de foudre que l'on imagine possible que dans les films, ou les livres. pourtant, ce livre retrace sa vie, leur histoire d'amour. à clay et victoria. la rencontre parfaite un soir de pluie, dans un café au coin d'une rue passante. une sorte d'hommage à eux, relaté à jamais par des mots écrits à l'encre noire. (4) le chocolat sous toutes ses formes, solides ou liquides, noir ou blanc. elle affectionne particulièrement les morceaux aux noisettes croquantes sous la dent. elle s'est même spécialisée dans la confection d'un fondant au chocolat qu'elle réussi à la perfection. c'est bien le seul dessert qu'elle réussi, d'ailleurs. (5) les commérages. vicky adore parler et écouter, raconter et critiquer. son père avait l'habitude de la traiter de concierge. elle en riait, trouvant le surnom ridicule. mais finalement, ça lui correspond pas mal.- saison préférée: le printemps, la renaissance de la nature, des beaux jours, de l'air frais agréable. une saison propice aux balades et aux pique-niques, à la bonne humeur et aux rires faciles. - traits de caractères: fière, sociable, rêveuse, frivole, débrouillarde, désordonnée, gourmande, nerveuse, impulsive, optimiste, sentimentale, naïve, têtue, imprudente, curieuse, douce, passionnée. - groupe: celosia. - avatar: ana de armas.

elle le voyait, pieds nus, sur la plage rocailleuse de brighton, des jérémiades au bout des lèvres, le soleil brillant dans ses yeux. il se plaignait, clay, des cailloux, d'une plage sans sable qui chatouillerait les orteils. et vicky riait de sa moue boudeuse. ils s'étaient échappés d'un repas de famille pour pâques un peu trop long, un peu trop pénible, pour profiter des premiers rayons lumineux de la saison. elle pouvait toucher ce souvenir du bout des doigts, pouvait recompter les âneries et les mots tendres. pourtant, c'était il y a plus d'un an, qu'ils disaient tous. médecins, parents, résultats médicaux, le journal à la télé qui affichait avril deux mille dix huit. l'année deux mille dix sept s'était volatilisée comme une fine poussière entre entre ses mains. elle avait oublié, vicky. oublié, oublié. un an de sa vie, à cause d'un accident de voiture, pour des raisons banales. un chauffard ivre, qui roulait à contre sens. mais vicky s'en fichait tant qu'elle était en vie. ses prunelles claires cherchaient ce visage familier parmi ses proches. clay n'était pas là, à son chevet, l'air inquiet, le front plissé, le regard fatigué. parce qu'ils lui avaient interdit, parce qu'elle avait apparemment porté plainte contre lui. elle était perdue, confuse. rien n'avait de sens. on lui racontait des histoires, des mots qui ne voulaient rien dire. il l'avait poussé d'énervement, et elle était tombée. aussi simplement, aussi bêtement. mais elle l'aimait vicky. elle l'aimait, sans vouloir y croire.

en vrac; elle raconte à qui veut l'entendre que son nom signifie victoire, vainqueur; elle est allergique aux piqûres d'abeille, se balade même avec un kit d'adrénaline juste au cas où; son accident de voiture aurait pu lui être fatal, les médecins l'estiment chanceuse; elle est restée dans le coma quelques jours, mais ces quelques jours ne lui auront pas suffit pour panser les traumatismes subits par son cerveau; elle adore pâtisser, même si elle n'est pas très douée; elle est loin d'être l'archetype de la femme au foyer. désordonnée, elle clame que son bazar est, en réalité, organisé; elle voudrait voyager, visiter l'europe; elle est la première fan de clay, parfois même sa muse.  

- pseudo/prénom: bérénice/timeless. - âge et pays: 24 ans et la franceeeeee grise. - type de personnage: inventé à deux cerveaux    - votre avis sur le forum:    - où avez-vous connu le forum: bazzart. - autre: beaucoup d'amour sur vous  

Alex Ferguson a écrit:

comme jotem
be ready people, perfect has a name : victoria hopkins