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MessageSujet: you don't own me. sybill&cal   you don't own me. sybill&cal EmptyVen 8 Déc 2017 - 1:15




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C’était morose ce début d’soirée. Jared est parti tout le week-end sur Londres pour rencontrer un nouveau commanditaire secret dans votre affaire généreusement illégale. Sybill semblait travailler tard apparemment, tu ne l’as pas vu de la journée d’ailleurs. Tu leur en voulais un peu finalement de t’laisser sur la touche un vendredi soir, fallait oser te faire ça à toi, putain ! T’étais certain de leur faire regretter la méprise plus tard, à ta manière bien sûr car il était hors de question de leur indiquer véritablement à quel point ils t’avaient manqué. Puis finalement, t’as trainé sur les réseaux et t’as reçu ces messages-là. Callie, une mignonne petite âme qui te proposait une soirée dans un bar du coin. T’hésiteras pas longtemps à t’extraire de ce canapé molletonné pour repousser le cendar et enfiler les vêtements appropriés à de futurs projets. Même avec un jean et un t-shirt, tu excelles vers l’aplomb et l’envergure. Un coup de main dans la tignasse brune, peu rasé et te voilà déjà, le blouson sur les épaules, à quitter ce cocon trop froid, trop vide, trop insupportable. L’ambiance n’est pas mauvaise. Callie a des amis, pas du modeste, mais du peuple qui a de la caillasse et l’envie folle de s’amuser. Tout c’que t’avait besoin. Rien à voir avec un riot club dont tu connais parfaitement les exigences mais ça te convient, ça te fait oublier ce semblant de solitude fantomatique qui commençait à te gagner tout à l’heure. Un œil sur les verres de rhums et l’autre sur les petites fesses rebondies de ton hôtesse éphémère. Tu t’gènes pas, c’est pas comme si tu portais l’anneau à vrai dire. T’as vraiment aucun scrupule Cal, lorsqu’il s’agit de mater la marchandise. T’as pas envie de penser que ta brune prend un peu trop de place sur ton cœur de pierre ce soir. Indéfinissablement, oui, mais tu lui en veux un peu de t’avoir laissé choir avec une artiste de seconde zone, blonde et charmante, qui n’lui arrive pourtant même pas à la cheville. Alors tu danses, tu bois, et t’oublis les prénoms en te moquant de ce que demain pourra t’apporter de nouveau. Généralement, tu tiens bien les mesures d’alcool, mais la petite troupe s’emporte facilement. Toi avec. Les shooters de tequila, le citron et le sel te gagnent doucement. Sinueusement. Suavement. Et tu captes à peine cette main sur ta hanche qui s’impose comme une hyène qui se prépare à attaquer sa proie. Quand tes yeux lorgnent l’affranchissement, tu souris, un peu machiavélique. Callie titube un peu contre tes pecs puissants et finalement, ça aussi, tu laisses faire. Ca t’fait rire, ça t’plait les encouragements et les attentions, Cal. Pourtant tu ne feras rien pour engager le plus, elle viendra toute seule se blottir et rire à tes conneries quand vous sortez vers trois heures du mat’ après la fermeture imminente du lieu de fête. Sans vraiment en parler, sans vraiment diriger quoique ce soit, tu gagnes l’appartement avec une blonde éméchée sous le bras qui tente désespérément de capter un geste chaleureux de ta part. Quand t’ouvres la porte, ta mimique souriante sur les lèvres a capté le sac à main et la veste qui ne se trouvaient pas là quand tu es parti beaucoup plus tôt. Sybill est sous la couette, accusant surement sa soirée de labeur. Grand bien lui fasse, ta vengeance commencera par lui faire profiter du vacarme de la tienne. Ce n’sera pas très dur, la Callie glousse comme une dinde amourachée à tes blagues ou un simple mouvement de ta part. Et à vrai dire, question bruit, tu ne prends pas de gants. L’alcool te prive de discrétion mais tu fais bien tout pour en rajouter. Il n’y a jamais vraiment de demi-mesure avec toi. La porte claque bruyamment, mais ce n’est qu’un premier jet. Tu pousses la blondinette vers une fauteuil pour qu’elle s’affale en rigolant de plus belle « toi t’as pas assez bu on dirait ! » que t’ajoutes en jouant des sourcils. Et alors que tu te diriges vers le bar du salon, le peu de luminosité n’aidant pas, tu renverses un vase de collection qui se brise sur le carrelage. Fracas assuré. Tu ris et tu recules en vacillant, surpris par ta connerie non désirée au final. Mais, chancelant encore plus, tu tentes de te raccrocher au porte manteau et là… bah c’est l’drame. C’est tonitruant. Le bois heurte le sol lui aussi dans un bruit sourd et toi qui tombe avec le tout dans un roulé-boulé. T’entendras ensuite juste Callie qui gueule pour se foutre de ton numéro de funambule râté « AHAHAH ! CAL T’ES BOURRÉ TOI ! »
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MessageSujet: Re: you don't own me. sybill&cal   you don't own me. sybill&cal EmptyVen 8 Déc 2017 - 17:12




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La journée en elle-même a était très calm t'as trainé un peu dans l'appartement, t'as fait un peu de ménage et puis t'as pris un bain moussant de folie qui sentait bon les fruits rouges.  Tu adores les fruits rouges. Et puis tu as passé un peu de temps à parfaire ta tenue de ce soir. Tu adores ça aussi, customiser tes tenues que tu finis toujours par montrer aux deux idiots qui vivent sous le même toit que toi et qui partage ta vie depuis pas mal de temps maintenant. T'aimes voir dans leur yeux cette effet que tu fais, et ils adorent quand tu teste tes tenues parce que tu finis toujours par leur faire un petit show privé pour voir si la tenue résiste bien a tous tes mouvements. mais pas aujourd'hui. Jared n'est pas la du week end, ce qui veut dire que tu es seule avec Cal et tu sais que ça finit toujours dans un bain de sang. Il est intenable mais c'est bien ça qui t'excite le plus chez lui, pas uniquement sa gueule d'ange diabolique. T'aimes le danger qu'il représente. Jared, c'est la sécurité et la douceur, Cal c'est le danger et la passion. C'est surement étrange pour certain mais tu es incapable de choisir l'un des deux, ils te completent entièrement ensemble, tout autant qu'ils se completent dans leur caractère. Et puis tu dois avoué qu'au lit c'est bien plus qu'orgasmique. Mais là n'est pas la question. Tu bosses ce soir alors forcement tu te prépares, tu abandonnes ce pauvre Callum a son sort pour la soirée mais tu te promet de ne pas le laisser trop longtemps, tu ne sortiras pas avec les collègues et tu ne feras pas la fermeture avec ta grande soeur. Cependant tu sais que tu vas finir assez tard, surtout que le vendredi, comme le samedi, c'est blindé de monde au Red Velvet. Tu passes une soirée épuisante, parce qu'il faut gérer le show mais aussi les spectateurs, il faut gérer le stress de l'echec. Il est une heure du matin quand une de tes collégues s'approche, t'as finit ton dernier passage après tout, tu vas pouvoir rentree. « Hey Syb', tu reste avec nous, on va surement sortir après.. » « c'est gentil mais je veux pas laisser Cal tout seul trop longtemps a l'appartement.. » « ton chien ? » « non, mon coloc. » Vous partez dans un petit rire avant de finalement vous séparer. Tu quittes les lieux, embrassant ta soeur au passage avant de filer jusqu'à l'appartement en prenant un uber. Tu arrives assez vite chez toi, fatiguée. Mais finalement, il fait bien trop calme chez toi. Cal serait endormi ? Tu retires ta veste, pose ton sac à main et tu rejoinds la chambre de cet idiot. Vide. L'enfoiré il est sorti ! Soit. Alors tu retires tes fringues, tes escarpins et tu restes en dessous pour te glisser au lit. Si jamais il revient il pourra te trouver dans ses draps. Mais il revient pas, tu finis par t'endormir.

Il est tard, nuit noire, mais y'a du bruit dans l'appartement. C'est pas Jared tu le sais, mais c'est Cal, tu reconnais rapidement sa voix. « toi t’as pas assez bu on dirait ! » Tu grognes depuis le lit. Qu'il rentre en faisant du boucan t'es presque habituée mais qu'en plus il ne rentre pas seul, ça va clairement exploser. Tu sais que vous n'avez pas une relation basique, le truc pépére tranquil, le truc classique qui fait réver les petites filles mais c'est pas pour autant qu'il doit ajouter des personnes dans cette relation hors du commun. Jared n'est pas là, mais c'est pas une raison pour tenter de le remplacer pour une nuit et encore moins avec une fille.. surtout pas avec une fille ! C'est pas qu'une question de sexe, parce que ces deux idiots tu les aimes, même si tu ne le diras surement jamais. T'arrives déjà pas à dire a ta grande soeur que tu l'aimes après tout. Tu quittes sa chambre, ne prenant même pas la peine d'enfiler quelque chose sur tes sous-vetements. Tu dors comme ça et ni Jared ni Cal ne s'en est deja plaind. Tout comme aucun ne se plaind de te voir débouler en petite tenue en plein milieu de l'apres midi. « AHAHAH ! CAL T’ES BOURRÉ TOI ! » Tu es déjà arriver dans la pièce principale de l'appartement et c'est avec un certain énervement et une voix tout aussi transparente sur ce sentiment que tu lances pour cette petite blonde « et toi tu vas dégager rapidement ! » Tu croises les bras sous ta poitrine cachée par ce sous vêtement qui te va à la perfection. Tu finis par approcher de Cal, et là ca fait paf. La gifle est partie aussi vite, dès que tu as sentir ta peau frémir a sa présence. Il a de la chance que Jared ne soit pas là d'ailleurs parce que ça aurait gueuler de son coté aussi surement. « Une autre fille ? sérieusement ? » « mais.. » « TOI TU FERMES TA GUEULE » tu coupes instantanement cette petite dévergondée totalement ivre. Tu reposes tes yeux sur la joue marquée de Cal et t'as presque un petit sourire satisfait mais rapidement déformé par la rage.. la jalousie aussi. « je rentres au plus tot pour passer le reste du temps avec toi.. et toi tu me ramenes une petite petasse ? » « heyyyy ma..» « j'ai dis TA GUEULE »

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MessageSujet: Re: you don't own me. sybill&cal   you don't own me. sybill&cal EmptyVen 8 Déc 2017 - 18:37




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Rallongé sur le dos, les bras en crois, au milieu de manteaux et le bonnet de Sybill sur la face, tu rigoles à pleins poumons sous l’effet dévastateur de cette chute rocambolesque. T’as oublié la Callie. C’est pourtant compliqué avec les bruits de dinde qu’elle produit en s’marrant. Puis, y’a cette porte qui claque. Ton rire se fige mais ton sourire est adorateur quand tu réalises que t’as enfin atteint ton but. Repoussant le bonnet, tes yeux noirs rencontrent dans cette position inversée en contre-plongée, les cuisses fermes et galbées de la plus belle apparition qu’tu connaisses. Sybill est dans une colère noire, et rien que ce fait te réjouit un peu plus. T’as vraiment tout ce que tu veux, où tu veux. Sans compter la vue et cette petite lingerie qui la met évidemment bien trop en valeur. « et toi tu vas dégager rapidement ! » glacialement parfaite envers la petite blonde que tu sens se recroqueviller dans le fauteuil au coin du regard. Tu jubiles, Cal, avoues-le. Finalement, tu t’redresses. Mais juste parce que t’admires le tissu noir qui souligne magnifiquement la silhouette. La blondinette à côté est bien trop fade pour que tu daignes lui accorder un regard. La salive au bord des lèvres, mais contre toute attente ta joue est prise d’assaut par cette paume et ses cinq doigts. La gifle qui brise ton silence, celle qui efface ton demi-sourire juste le temps de sentir ton cou pivoter. Quand tu prends conscience de ce que vient de faire Sybill, ta gueule de joueur continue sur tes lippes mais tes yeux, eux, ont la couleur de l’enfer. Fusillant gracieusement ta colocataire. Mâchoire serrée, tu feins de ne pas montrer qu’elle y est allé fort. Te relevant doucement mais souplement d’un coup, pour la dépasser de deux têtes si facilement. « Une autre fille ? sérieusement ? » « mais.. » « TOI TU FERMES TA GUEULE » tu hausses un sourcil en la toisant de cette hauteur. Tu ne calcules même plus ton ‘invitée’ en fait. La jalousie de Sybill te prend toutes tes attentions. Et ça te fait un bien fou. Sale psychopathe va ! Ta joue te brule encore, et tu crois même voir un air satisfait sur le visage de la jolie brune. Tu sens tout de même Callie gigoter alors que vous vous jaugez du regard, ce combat infini qui résiste entre vous. « je rentres au plus tot pour passer le reste du temps avec toi.. et toi tu me ramenes une petite petasse ? » « heyyyy ma..» « j'ai dis TA GUEULE » elle a écourté une soirée pour toi ? Tu souris de nouveau, ravi de l’avoir fait poireauté au final. Tu jubiles clairement à présent. Si t’as détesté son assurance pour t’avoir collé la claque du siècle, t’humiliant au possible, à présent tes yeux brillent d’une satisfaction non dissimulée. « t’aurais du sortir, j’t’ai rien d’mandé » que tu balances, tranquillement en battant des paupières de cette manière si suffisante. Puis tu la contournes en jetant cette fois un regard à la blonde qui s’est fait cloué le bec. Mais finalement, au lieu de lui porter de l’intérêt à elle aussi, tu finis par aller ouvrir le bar et sortir une bouteille avec un fond de liquide ambré qui nage tranquillement. « c’est la semaine rouge pour qu’tu sois aussi défrisée bébé ? non parce que dis-le tout d’suite et Callie se fera un plaisir de prendre ton rôle » connard. Tu continues. Elle te fait pas bander pour deux sous, la gosse de riche complètement bourrée. Mais c’est juste que t’as pas envie de lâcher la grappe. Tu t’mords la lèvre, délibérément joueur, leur faisant face avec ton verre tout juste servi qui vient alors caresser cette lippe agaçante. « bon je… » même saoule, la blonde arrive à être mal à l’aise entre vous deux. Seulement tu vois son visage devenir vert jaunisse « je crois que je vais vomir ! » s’exclame-t-elle en plaquant une main sur sa bouche. tu ris de plus belle en voyant Callie se ruer vers une porte en face. Gagné ! c’est bien les chiottes. Ouai…ça t’amuse bien trop et t’en es fier.
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MessageSujet: Re: you don't own me. sybill&cal   you don't own me. sybill&cal EmptyVen 8 Déc 2017 - 19:01




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Tu es en rage, en colère à le voir là, aussi satisfait de ces conneries comme à son habitude. T'es sur qu'il ferait moins le malin avec Jared mais evidement, comme à chaque fois que vous n'etes que deux, il te rend la vie impossible et fait tout pour te mettre dans une colère noire. La gifle, il l'a bien mérité et tu t'en moques bien de son regard. T'es sur ravie de voir la trace de tes doigts sur sa joue. Non mais sérieusement, tu l'attends en petite tenue, dans un ensemble noir qui te va à merveille et qu'il reve deja de te retirer, tu te fais pas d'illusion sur l'effet que tu provoques en lui. Et ce con il te ramène une blondasse totalement ivre ! Non là, il dépasse les bornes, surtout que tu etais dans son lit a l'attendre ! « t’aurais du sortir, j’t’ai rien d’mandé » Tu hausse un sourcil, sérieusement ? Bah tu aurais su tu serais resté au Red Velvet et tu serais sortie après ! Tu aurais su, tu n'aurais même pas pris la peine de rentrer plus tôt ! Tu aurais su, tu l'aurais enfermé dans l'appartement surtout ! Il t'énerve ! il te met en rogne et tu pourrais lui en coller une seconde rien que pour ça ! Tu te qualifie pas vraiment de fille jalouse mais tu sais que tu es possessive et Cal est a toi, autant que Jared est à toi ! Rien a foutre de ce qu'ils peuvent dire ou penser, ils t'appartiennent autant que tu leurs appartient, sauf qu'ils sont deux. Mais là n'est pas la question ! Il finit cependant par s'éloigner de toi, il a bien raison s'il ne veut pas s'en prendre une bien plus claquante. Direction le bar pour se prendre un verre. Comme s'il n'avait pas assez bu tient, combien de fois tu vas devoir le dire ? Toi de toute façon tu ne bois pas et tu ne fumes pas. T'as pas besoin de ça pour t'amuser et tu sais surtout très attention a ce que tu consommes. Evidement tu fais quelques exceptions de temps en temps, sauf si l'alcool et la nicotine, et la drogue bien évidement. Tu poses tes yeux sur la blonde, quelques secondes à peine avant de reposer ton attention sur cet idiot avec qui tu partages cet appartement. « c’est la semaine rouge pour qu’tu sois aussi défrisée bébé ? non parce que dis-le tout d’suite et Callie se fera un plaisir de prendre ton rôle » Ho le sale con ! l'enfoiré ! Il a du bol d'etre loin de toi en cet instant. Tu grognes, serrant les poings en faisant attention de ne casser aucun de tes ongles. Ce n'est pas que tu as peur de faire quelque chose mais dans ton metier l'apparence est primordiale et t'as pas envie de payer une manucure alors que tu as fait tes ongles y'a pas longtemps. Tu vas pour lui répondre quelques choses mais c'est finalement la blonde qui traine dans un coin qui te devance. « bon je… » Je ? ouai casse toi ! « je crois que je vais vomir ! » QUOI ? Tu ecarquilles les yeux alors qu'elle s'enfonce en courant vers une porte, par chance ce sont bien les toilettes. Elle aurait vomit sur tes affaires tu l'aurais tuer sur place et tu aurais fait payé ce connard pour le teinturié ! « non mais elle est encore plus bourrée que toi quoi... il fallait que tu la saoul pour qu'elle s'interesse a toi ou quoi ? » Que tu lances sur un ton provoquant. Tu sais qu'il est un peu narcissique et trop imbu de sa petite personne pour apprecier cette pique. Tu finis par approcher de lui, quelques mètres pendant que vous entendez l'autre cruche se vider l'estomac. Tes lèvres se trouvent a quelques centimètres à peine des siennes puisque tu te mets sur la pointe des pieds. Et tu souffle.« Ca te plait hein, de me rendre dingue ? Et bien profite bien de ta petite blonde là ! Parce que si y'a bien un cul que tu toucheras, ca sera le sien, pas le mien ! » Tu tournes les talons, rejoignant les chambes. La tiennes cette fois, tu iras chercher les fringues que tu as laissé dans la sienne au petit matin, en le réveillant pour etre sur qu'il passe une journée de merde. Et tu en profiteras pour virer la blondasse si elle est encore là.


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MessageSujet: Re: you don't own me. sybill&cal   you don't own me. sybill&cal EmptyVen 8 Déc 2017 - 22:29




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Cette prétention pourrait te tuer un jour, Cal. Tu joues sur une corde raide à n’en plus pouvoir. Depuis le premier instant où elle a franchi le seuil de l’entrée, depuis qu’elle a accepté de vivre avec vous deux les frères sang tu savais que Sybill Grimm allait prendre bien trop d’importance dans vos vies. Dans ta vie. la blondinette a quitté votre champ de vision pour déverser le surplus d’alcool engrangé. T’as rien fait pour. C’est comme si les nanas, à chaque fois, en faisaient un peu trop pour t’impressionner. Mais réellement, c’est c’que tu voulais qu’elles fassent ces ingénues. Tu aimes quand elles sont en pamoison, qu’elles vont jusqu’à payer le prix fort pour avoir ton attention. Tu aimes pousser le vice, parce que malheureusement cela t’amuse un peu trop. Mais le pire, c’est qu’au final, elles n’auront jamais rien de toi. T’es contre l’attachement, ou du moins ce qui s’y frôle. T’aimes trop la vie et l’exclusivité de ton toi pour laisser place à une autre personne. Vraiment Cal ? Tu sais bien que t’as faux sur toute la ligne, car rien que tes yeux ont déjà lâché le contraire depuis que Sybill est entrée dans ton champ de vision. Tu n’as d’yeux que pour elle, et même si tu feins l’égocentrisme sur ta propre personne, tu projettes bien trop de choses sur cette femme. Tu la partages, sans vraiment le faire c’est vrai. Jared est une moitié de toi. La part complémentaire de ta personnalité. Tu ne partages pas Sybill. Tu lui offres le meilleur. Le nec plus ultra que tu envisageais seulement pour ta propre personne. Sauf que là, tu témoignes, sans vraiment le savoir, un degré d’attention énorme pour autrui. Et c’est bien la première fois de ta vie. Même Jared n’a jamais eut le droit à tant d’égard, alors que cette petite femme en face de toi dépasse toutes les mesures de la rationalité. Une stratosphère qui t’éloigne complètement de ce que tu recherchais ; t ‘éloigner de l’égoïsme pur dans lequel t’as bercé toute ta vie. Est-ce que ça t’chiffonnes cette réflexion ? Très certainement. Ressentir trop de choses pour une femme, ça t’est complètement inconnu, mais réellement, bien au fond, tu sais que tu es incapable de faire autrement que de susciter son attention à travers des machineries toutes plus exubérantes les unes que les autres. Cette Callie a-t-elle un sens dans ton existence ce soir ? Non, elle est carrément un dommage collatéral, mais tu n’y peux rien. T’as besoin de ça pour lui prouver ce que tu ressens car tu ne connais pas les mêmes mots que Jared. Alors c’est ça, ou c’est rien. C’est tout. « non mais elle est encore plus bourrée que toi quoi... il fallait que tu la saoul pour qu'elle s'intéresse a toi ou quoi ? » tu ne ries pas cette fois, car elle a frappé dans le mile. Elle te connaît bien trop pour savoir où ça fait mal chez toi. En revanche, tu ne cilles pas et tu soutiens même son regard de biche, belliqueux à souhait. Sybill, ta danseuse machiavélique. C’est un ange doux et suave pour Jared, mais avec toi c’est ce côté félin et sauvage qui émerge. Démoniaque. Celui qui te convient trop bien. Le danger passionnel qui pourrait tout détruire. Ou tout construire. Cela dépend de quel chemin vous décidez d’imprunter cette fois. Bien plus petite, elle a pourtant une ascendance que tu ne connaitrais même pas chez tes sœurs. Elle a ce don de te jauger même en levant le menton vers le ciel. Son souffle chaud vient attaquer le tien, et d’un coup ton regard brun se voile pour appeler le fauve qui sommeille toujours en attendant cette lionne qui est la tienne. D’ailleurs tu fixeras ses lèvres avec avidité, comme un forcené qui espère résister. « Ca te plait hein, de me rendre dingue ? Et bien profite bien de ta petite blonde là ! Parce que si y'a bien un cul que tu toucheras, ca sera le sien, pas le mien ! » la commissure de tes lèvres revient sur un sourire de plus alors qu’elle s’écarte de nouveau pour laisser le froid geler votre échange si brulant. Le chaud, le froid. C’est ça votre relation à vous. C’est pas de demi-mesure, c’est juste le besoin de se rappeler que l’un et l’autre vous êtes en vie. Sybill file, te plantant à côté de ce bar alors que tu vides ton verre d’une traite. Elle a pris la tangente en prenant la porte de sa chambre. Et toi tu sers les dents. C’est pas ce que tu voulais. Mais en même temps, tu n’en attendais pas mieux d’elle. Callie réapparait, blanche comme un linge. En revanche cette fois, tu n’es plus aussi patient, tu n’es plus aussi comique même si le dernier rhum t’a paru salutaire pour tenir le front. Tu l’imagines pantelante vers toi, alors que tu reportes toujours tes yeux sur la porte où ta danseuse a disparut. « tu connais la sortie » un bref regard, un souffle rapide quand tu passes à côté de la blonde encore éméchée. Tu t’en fous des conséquences. T’entendras juste la porte d’entrée se refermer et tu n’accorderas même pas un regard à ta sauveuse de soirée bien arrosée.

Allongé dans ton lit, t’as viré tout ce qui était inutile comme tissu superflu. Nu. Et trop seul. Pourquoi ne pas avoir rejoint Sybill ? t’as bien trop de fierté pour réclamer ton coin de matelas comme un clebs. Mais même en tapant sur l’oreiller pour trouver une position adéquate, ta susceptibilité te ronge. T’aimes pas te rabaisser, mais t’aimes pas savoir qu’elle est trop loin, trop seule. Trop… sans toi ? Un bon moment tu rumines ainsi. Elle aurait du se douter, et même sans que t’es à le dire, que tu n’aurais rien fait avec une autre. L’exclusivité ? t’en as jamais parlé. Vous n’en avez jamais parlé en fait. Cette situation semble convenir depuis qu’elle a commencé. Tu sais juste que t’as besoin de son feu pour ranimer la roche trop glaciale qui cristallise ton cœur. Soufflant d’agacement, tu finis quand même par saisir ton téléphone, décidant à la faire flancher avec un message pianoté à son intention dans l’obscurité. Parce que t’es trop orgueilleux pour aller la rejoindre de l’autre côté du couloir.
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MessageSujet: Re: you don't own me. sybill&cal   you don't own me. sybill&cal EmptyVen 8 Déc 2017 - 22:59




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Tu te casses, tu tournes les talons et tu prends le chemin de ta chambre en laissant la porte claquer derière toi. Tu grognes une fois de plus, cachée cette fois par les quatre murs décorés de photos diverses, de danseuses etoiles avec quelques touches de couleur pour enjoliver cette pièce qui est devenue, il y a trois ans, ton refuge, ton petit nid. Tu attrapes le coin de ta couette, te glissant sur les draps glaciales qui te font frissonner. Bordel ! Tu etais bien dans son lit à lui, c'était chaud et douillé, voilà qu'avec tout ça tu retrouves ton propre lit. Il faut etre franche, tu n'y dors pas souvent ou rarement seule. Généralement tu te glisses dans le lit de Jared ou de Cal, tu te colles à eux pour te réchauffer. Et parfois, tu exiges à les avoir tous les deux dans le lit rien que pour toi. Sans pour autant evoquer le sujet du sexe, t'aimes avoir leur deux corps contre toi quand tu dors. C'est rassurant d'avoir leur présence. C'est mal dans le fond, tu le sais bien. Pourtant rien n'est bon ni mauvais en soi, tout dépend de ce que l'on en pense. Mais là t'es trop énervée contre ce petit enfoiré pour aller récupérer ta place sous ses draps. Qu'il aille baiser sa blonde et qu'il te fasse pas chier. Tu penses ca et pourtant tu sais parfaitement que tu lui en voudrais à mort si c'était le cas. Vous n'avez jamais abordé le thème de l'exclusivité, surtout que tu sais qu'ils te partagent entre eux et tu ne sais pas si finalement ça devient pénible pour eux ou non. Mais toi, t'as besoin des deux, enfin, sauf quand il te gonfle comme cette nuit ! Tu grognes une fois de plus, ta main tapotant un peu ton téléphone pour le poser sur ta table de chevet. Tu fermes les yeux, tu te tournes, et retourne jusqu'à trouver la bonne position et tu essaie de te laisser aller pour retrouver le pays de Morphée que tu as du quitter un peu plus tôt a cause de cet idiot.

Mais il semblerait qu'on ne veuille pas que tu dormes ce soir. Tu grognes quand tu entends le "bip" de ton iphone et tu ouvres les yeux avant de te retourner pour l'attraper. Pourtant il y a ce petite sourire sur le coin de tes lèvres qui s'affiche quand tu vois le destinataire s'afficher ainsi que le début du message. Tu affiches la suite, prenant une petite moue avant de t'allongée et de laisser ta tête fondre dans l'oreiller trop moelleux. tu grognes, il croit peut etre que tu vas céder comme ça ? Il reve ! Il a beau etre moins docile que Jared et plus chiant c'est pas pour autant que tu vas obéir à ses ordres. Encore moins même ! Tu finis par lui répondre, deux mots suffisent et tu cliques sur envoyer. Tu poses le téléphone au niveau de ta poitrine légèrement dénudée et tu attends une réponse de sa part. Tu ne dis rien, mais tu penses. T'as envie de le rejoindre, de te glisser de nouveau dans son lit, de rejoindre ses bras. Mais hors de question, elle est ou sa blondasse d'ailleurs ? T'as entendu une porte tout à l'heure non ? C'était la porte d'entrée ou celle des toilettes qui a claqué ? Tu ne sais pas, et puis tu t'en fiche, qu'il s'occupe de sa viande saoul et qu'il te laisse tranquille. rhaaaa que tu le déteste. Mais que tu aimes le détester !


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MessageSujet: Re: you don't own me. sybill&cal   you don't own me. sybill&cal EmptyVen 8 Déc 2017 - 23:43




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Allongé sur le dos pour la seconde fois en si peu de temps depuis que t’es rentré, il semble que tu fixes le plafond dans le noir de cette chambre. Indiciblement, on sent encore la place toute chaude, molletonnée, laissée par la jolie brune qui y avait prit place avant que tu ne la réveilles avec ton vacarme. Son odeur est partout ici, c’est comme si chaque morceau de draps te rappelait que tu n’as pas le droit de fermer l’œil sans qu’elle ne soit revenue pour contenter l’âme putride qui est la tienne en la réclamant tel un forcené. Le téléphone dans la paume de ta main, t’espères au fond qu’elle ne dort pas, qu’elle n’a pas trouvé le sommeil pour t’envoyer boulet en te laissant comme un con sans prendre la peine de te répondre. Tu t’en voudrais. Tu lui en voudrais aussi d'ailleurs, mortellement. Mais voilà qu't’as pas envie de ça maintenant. Tu veux juste qu’elle capitule car t’es trop narcissique pour baisser les armes, pour te rendre finalement. Si ce n’est que quelques minutes avant de sentir l’objet vibrer entre tes doigts, cela te semble une éternité d’attente pendant laquelle tu la maudis de te faire endurer tant de complexes douteux. Sans t’en rendre compte, tu tends même l’oreille comme si tu t’attendais, prêt à sortir ce sourire victorieux, au fait de l'entendre s'immiscer à pas feutrés derrière la porte close de ta chambre. Mais rien. C’est trop calme. Trop silencieux, bien trop pesant alors que tes tempes font un tonnerre de malade pour témoigner de ton cœur qui bat l’attente à n’en plus finir. Tu la haïrais pour ce manque éperdu qu’elle te fait ressentir en cet instant. Loin du sexe, de l’attrait corrosif qu’elle déploie sur tout ton corps lorsqu’elle est contre tes hanches, Sybill a cette présence rassurante qui te fait sentir si important, et si faible à la fois. Ce serait mentir bien entendu de dire que tu n’as pas envie d’elle car c’est la seule manière que tu as de lui montrer ton attachement. Pour ça, vous vous ressemblez. Vous ne parlez pas le langage de l’émotion, handicapés des sentiments, vous feriez un beau sujet pour psychologue c’est certain. Contrairement à Jared, tu ne connais pas la douceur naturelle et la tendresse des palabres, pourtant tu la hisses sur un piédestal à travers des regards et des pensées qu’elle ne peut imaginer. Mais tu ne laisses rien paraître. Et elle non plus. Toujours à croiser le fer et s’affronter, jusqu’à faire grincer les lattes de vos lits au détriment d’un ‘je t’aime’ qui embraserait vos lèvres. Ca t’met mal à l’aise d’un coup de penser à des choses si intimes. Et tu grognes en fixant de nouveau l’écran resté noir. Quand soudain, comme si elle avait deviné ton impatience tu reçois la réponse qui te fera vrombir de rage en te redressant entre les oreillers moelleux. En gros, elle te dit d’aller de te faire foutre. T’aurais pu rire. Pire encore, aller lui flanquer une fessée qui lui imposerait de ne plus s’asseoir pendant des jours. T’imagines déjà bien trop la tête de Jared quand il vous demandera comment s’est passé le week-end. Cependant, très vite, ton adrénaline monte suite à cette réponse. A la fois direct, et bien sur arrogant, intransigeant même pour taper le prochain message. Premier texto, très vite suivi d’un second qui souligne l’agacement. Un Rosenbach ne peut se laisser marcher sur les pieds. Encore une fois tu exiges comme un petit garçon devant un magasin de jouets. C’est comme si ta mère te disait que tu n’aurais pas la dernière figurine de spiderman, alors tu fais ton cinéma parce que t’as pas l’habitude que l’on te dise non. T’as pas l’habitude du refus ou de l’indifférence. Habituellement, c’est toi qui décide des choses qui vont dans ton sens, pourtant tu sais bien que dès ton deuxième texto avec cette menace totalement déployée, Sybill ne répondra a aucune exigence de ta part. Et c’est bien cela qui fait que t’es accro à cette nana. Tu souffles, tu grognes. Tournant et retournant pour tordre les draps entre tes muscles qui se contractent. C’est comme si tu bataillais entre ta raison, tes désirs et ce mur qui n’est que le reflet de cette barrière que tu ne franchiras pas le premier.
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MessageSujet: Re: you don't own me. sybill&cal   you don't own me. sybill&cal EmptySam 9 Déc 2017 - 9:33




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Hors de question que tu cédes alors que c'est lui qui fait des conneries. Tu etais rentrée plus tot, dès que tu as eu finis tes show tu as pris la poudre d'escampette pour rentrer et passer le reste de la nuit avec nuit. Vous auriez fait l'amour comme des bêtes parce que c'est la seule façon pour vous de communiquer quand Jared n'est pas là pour calmer le jeu. Ca a toujours été ainsi depuis le début, avant même que vous ne finissiez dans le même lit. C'était juste des grognements et des excès de colère dans l'appartement. Que ce soit pour les choses importantes ou les trucs simples comme penser à acheter du lait. Ca a toujours été ainsi et finalement ça vous convient bien. Tu restes dans ton lit, le téléphone poser sur la poitrine alors que tu grognes toute seule dans ce calme presque inquietant. C'est rarement calme chez vous, il y a toujours du bruit ou alors c'est que vous dormez mais pas cette fois. Ton téléphone se met de nouveau à vibrer sur ta poitrine et tu l'attrapes pour voir ce qu'il a répondu. De toute façon sauf des excuses ou une demande aimable tu ne bougeras pas de ton lit. Son premier message te donne tout de même un sourire, il est mignon dans un sens. Mais le second te fait perdre tout sourire et envie de le rejoindre. Tu as juste envie d'aller lui coller une nouvelle baffe. Non mais c'est quoi son problème à ce petit con ? Il peut pas juste demander a ce que tu le rejoigne gentiment ? Non c'est pas son truc, il prefere donner des ordres comme si tu etais son jouet ou sa poupée. Mais il reve completement ! S'il veut passer la nuit avec toi, il va devoir bouger son cul et venir te demander pardon ! Tu réponds a son message, reposant ensuite le téléphone sur la table de chevet et tu te retourne reprennant ta place initiale lorsque tu dors. Bon, ce qui est vraiment chiant parce que normalement y'a un mec a coté de toi, et tu te sers de son torse comme oreiller. Mais là tu as juste ton oreiller bien trop mou. Tant pis, pour une fois tu dormiras toute seule comme une grande personne. Tu grognes pourtant, qu'est-ce qu'il t'énerve ce petit con. Parce qu'il sait que t'aimes pas dormir seule, ca fait trop longtemps que tu squattes leur lit après tout. Tu n'aimes pas ça mais tu refuses de lui faire croire qu'il a gagné ! Tu préféres ne pas reussir a dormir correctement ! Tu attrapes la couette et tu recouvres tes épaules dénudées. Non mais t'as même pas pris la peine de te changer, d'enfiler un vrai pyjama. Mais au lieu de ça tu as cru qu'il viendrait jusqu'à ton lit et tu as laisser ce petit ensemble noir qui souligne si bien ton corps. Tu finis par te redresser, virant le soutif pour le poser au pied de ton lit avant de te remettre sous la couette. t'aimes pas dormir avec ça, c'est chiant et t'as l'impression de manquer d'air parfois. Habituellement il y a Cal ou Jared qui prend le temps de te retirer le tissu. Il t'énerve ce Rosenbach !

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MessageSujet: Re: you don't own me. sybill&cal   you don't own me. sybill&cal EmptySam 9 Déc 2017 - 11:36




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Toujours dans ce noir complet, t’expires bruyamment à chaque fois que tu lances un regard vers cette main qui tient l’écran du téléphone. Pourquoi ne peut-elle pas simplement comprendre qu’elle est à toi ? Pourquoi ne pas juste contenter ton égo et arrêter ces prises de tête ? Mâchoire contractée, muscles tendus au possible, le sommeil ne viendra pas. L’alcool fait encore doucement son chemin dans tes cellules nerveuses accentuant un peu plus la violence de ce combat qui se joue en toi. Tu ne peux pas baisser les bras maintenant. Non. Pas après avoir tenté de mettre ce joyeux bordel. Parce que c’est vrai, tout ce qui se passe depuis que t’es rentré n’est que le résultat magnifique de ton propre égoïsme. Mais tu t’en balances, t’as pas l’intention de changer, t’as pas envie de faire croire –même à Sybill- que tu pourrais devenir docile. Pire, malléable et responsable. Pourtant, quoique t’en penses, t’es en train de changer Cal. Sous tes airs de grand duc narcissique, t’es quand même en train de partager la femme qui fait rugir tes trippes et secouer ton cœur trop froid. C’est alors que le portable vibre, attirant de nouveau toute ton attention. Mais la réponse, bien que tu t’en doutais, ne fait que te déplaire un peu plus. Ce ‘bonne nuit Rosenbach’ a le goût du risque. Sybill choisit de nouveau ce danger ce soir, celui de te considérer comme un mec lambda et inintéressant. Celui que tu ne veux jamais être. Tu refuses d’être mis au placard, jeté comme une chaussette. Certes, tes ordres, elle les a toujours détourné et ça te rend dingue. Pourtant t’as toujours continué de la laisser faire, impossible de mettre fin à cette querelle. Tu finis par lâcher le téléphone sur la couette, soufflant nerveusement une fois de plus. Pour qui elle se prend à te balancer d’la sorte ? Merde quoi ! Jared n’a jamais le droit à ce genre d’éloges. Pourtant tu sais aussi que ton acolyte est loin de la pousser à bout comme toi tu as l’habitude d’exercer le pouvoir. Et au final, tu es bien là. Sans cette Callie ou n’importe quelle autre remplaçante, alors pourquoi jouer des airs de grande dame encore maintenant ? Elle joue avec toi. Elle sait trop de choses sans que tu n’es pourtant à lui avouer, elle est consciente du pouvoir qu’elle tient sur vous, les deux mecs qui sont à elle. L’exclusivité dont toi tu n’as aucun droit. Et sinueusement, même si tu ne voulais pas le voir au début, ça fait son chemin. Ca broie ta cervelle et décharge l’oxygène de ton pauvre cœur. Complètement à bout, t’envoie valser les couvertures pour sortir nu du grand lit. Ta porte s’ouvre à la volet et tes pieds traversent le couloir, pas si grand mais ça t’semble une éternité quand enfin tu ouvres la porte de la chambre de la demoiselle avec fracas. Ton autre main a déjà actionné l’interrupteur pour éclairer la pièce, foudroyant tes yeux si bien habitués à l’obscurité jusqu’à maintenant. Mais tu t’en contrefiches. Pupilles furieuses, tu fixes la petite boule formée sous la couette dans un coin du lit. Et t’espère sincèrement qu’elle tentait de dormir pour la réveiller encore une fois. Ta main vient saisir brutalement la couverture, tu tires dessus d’un coup, arrachant les draps du lit pour les jeter aux pieds. Un instant, tes yeux scintillent quand ils caressent la découverte de ce buste dénudé, pourtant, très vite tu reprends la maitrise en agrippant ce corps de déesse pour le soulever. Mais t’as pas l’intention de capituler vraiment, tu ne veux pas que Sybill t’avoue vaincu jusqu’à ta venue ici. Pas dans son lit, pas dans ce terrain où elle est reine. Alors t’ignores les coups et les cris, et tu refais le chemin inverse en l’emportant avec toi. La mine maussade, violente de rage et d’exigence. Tout à l’extrême. Une fois dans ta chambre, tu la jettes clairement à cette place où tu voulais la voir. Dans ton lit. « tu vois, c’était pas dur de m'obéir ! » que tu grognes en la toisant puis tu ricanes pour se foutre d'elle, mi-énervé, mi-amusé.
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MessageSujet: Re: you don't own me. sybill&cal   you don't own me. sybill&cal EmptySam 9 Déc 2017 - 12:00




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t'as pas envie de lui faire plaisir, pas envie de le rejoindre, t'as pas envie qu'il pense pouvoir te controler ou pire, te faire obéir. Si tu aimes cette relation mouvementée, tu détestes quand il prend ses airs de prince pour te parler comme si tu n'etais que sa poupée. T'es pas une poupée, et il doit se mettre ça dans le crane une bonne fois pour toute. tu grognes, tu vas avoir du mal à dormir avec tout ça. T'as même une pensée pour la blonde, elle est ou ? partie ? il l'a laissé repartir alors qu'elle etait totalement ivre ? il est irresponsable et inconscient ! Et pourtant tu ne peux qu'avouer adoré cette partie de lui, ce coté dangereux. C'est ce qui te plait chez lui, Cal ne veut pas etre ignoré, il déteste ça, il déteste avoir l'impression d'etre invisible. il veut etre le roi du monde, adulé de toutes les demoiselles et ils jouent avec elles quand il en a envie. il a une belle gueule, il le sait et il en joue. et si tu déteste qu'il en joue sur d'autre que toi, tu as parfois du mal a te dire que tu peux te plaindre. Même ce soir, après tout il aurait pu finir avec cette fille, vous n'avez pas parler d'exclusivité, sachant qu'il te partage avec son meilleur pote. T'es égoiste, autant que lui. Tu ne veux pas les partager alors qu'ils te partagent et tu sais qu'un jour ça deviendra un probleme pour eux. Mais voir cette blondasse battre des cils pour lui, ça t'a juste mis dans une rage folle, parce que tu voulais juste passer cette nuit en tête à tête avec lui. Et au final il a juste profité de sa soirée. sans toi. sans jared. tu veux pas le perdre, t'as peur de les perdre tous les deux. mais faut pas rever pour leur avouer. Tu ne dors pas, alors tu peux facilement entendre la porte de sa chambre s'ouvrir et la tienne faire de même. Tu grimaces quand il ouvre la lumière, tu etais habituée au noir de la nuit. Mais il semble avoir d'autre plan que de se glisser contre toi dans ton lit apparement. Il attrape ta couverture pour la retirer, la ramenant au pied du lit et dévoilant ce corps à moitié nu. Bien plus qu'à moitié puisqu'il ne reste que ce dessous qui cache tes fesses. Il t'attrape, alors que tu laches un jurons de surprise pendant qu'il te porte pour ensuite quitter la chambre. tu te débat, le frappant, pour ensuite te retrouver dans sa chambre et finalement dans son lit quand il te balance comme un vulgaire sac de pomme de terre. « tu vois, c’était pas dur de m'obéir ! » tu grognes, s'il est amusé et tout fier, toi tu vois rouge. Tu le fusille du regard, et tu l'insulte par tout les noms d'oiseaux possibles dans ta tête. Il veut jouer a ca, parfait ! Tu t'installe donc dans le lit, mais tu finis dans un coin a lui tourner le dos. Tu attrapes la couverture pour recouvrir ton corps de poupée et lui faire comprendre qu'il n'aura rien du tout ce soir. Bon evidement, tu sais que s'il tente ou qu'il profite de ta bouderie pour te toucher, tu ne pourras pas l'écarter bien longtemps de ton corps mais au moins tu ne lui offriras pas satisfaction avant une bataille acharnée. Tu te fais un cocon avec la couette et tu finis par grogner en fermant les yeux « j'ai dis, bonne nuit rosenbach ! » comme pour lui rapeller que tu peux aussi lui tenir tête même si tu es actuellement dans son lit. Dans ce lit qui a connu bien des caresses, tellement de fougue et de colère.

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MessageSujet: Re: you don't own me. sybill&cal   you don't own me. sybill&cal EmptySam 9 Déc 2017 - 12:53




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Bon, c’est vrai. Au fond, tu devrais avouer que t’as à moitié capitulé. Mais le fait que t’ailles carrément t’imposer dans ses choix, cela inverse de nouveau la tendance de ton côté. Au final, c’pas vraiment de ta faute tout ça. On t’a toujours appris à exiger plus que nécessaire, à viser toujours plus haut et surtout à l’obtenir quoiqu’il en coûte. Tu n’sais pas vivre sans ses maitres mots. Et depuis l’arrivée de cette femme dans vos vies, c’est comme si indiciblement Sybill remettait tout ça en jeu pour te faire douter. Et tu détestes cela. Tu détestes cette façon qu’elle a de t’obtenir en un claquement de doigts, une gifle ou un regard d’effronté. Alors oui, tu ricanes, tu t’amuses de ce nouveau retournement. Tes yeux noirs ont déjà pris le chemin des caresses sur sa peau parfaite. Ta bouche réclame la sienne, même derrière ce sourire gagnant. Elle est énervée, encore une fois tu mets un point d’honneur à la faire rager sous tes désirs égocentriques. Vous devez pallier à ce fait de ne jamais parler de sentiments, ton seul recours reste le moyen de l’affronter par tes manigances, toujours plus agaçantes à chaque fois. La jeune femme décide quand même de ne pas te laisser trop longtemps le trophée. Elle ramène les couvertures, et ça rompt le contact de ta contemplation lorsqu’elle s’éloigne dans un coin du lit pour te tourner le dos. Ca grogne un peu dans ta gorge. Ca t’plait pas, bien entendu. Mais tu ne dis rien non plus quand elle ajoute, pleine d’amertume : « j'ai dis, bonne nuit rosenbach ! » elle sait déjà que tu ne vas pas rester sur ces nouveaux mots traitres envoyés par texto quelques minutes plus tôt. Mais ta petite colère s’éloigne tout de même. Elle est là, dans ton lit pour le réchauffer comme tu le voulais. Tes genoux rencontrent enfin le matelas, tu viens glisser doucement sous le drap sans toutefois approcher de suite de la belle. Sa chaleur et son parfum reprennent leur droit autour de toi, dans ce cocon qui t’appartient. Seul lieu où tu ne peux l’avoir rien que pour toi. Si t’accepte bien des choses et si aucune jalousie ne t’habite concernant Jared lorsque tu la sais avec lui, ici elle n’est rien qu’à toi, qu’elle le veuille ou non. Les secondes passent et le silence pesant a reprit entre vous. Pas de gêne, ni de timidité. Vous n’êtes pas ainsi l’un envers l’autre. Mais c’est plutôt ce calme célèbre qui bougonne avant la tempête. « on n’laisse pas bébé dans un coin » ton souffle, légèrement rieur sur cette réplique cultissime de film, vient jusqu’à cette nuque seul gage d’offrande pour le moment. Ta main a déjà rencontré sa cuisse, brulante et possessive. T’attaques bien souvent avec ton humour sarcastique, ça te met plus à l’aise que de devoir supplier pour recevoir. Tu ne t’excuseras pas, Sybill le sait bien. Parce que pour toi, tu n’as rien à te reprocher, ça ne te traversera même pas l’esprit. Toujours ce silence, alors que tes doigts viennent gravir la hanche encore barré par le tissu magnifique qu’elle porte. Ce ventre plat, où ta paume frémit pour s’accaparer le moindre carrée de peau. Puis y’a la rencontre sinueuse entre les vallons de chair, les seins que tu veux faire dresser sans vraiment les toucher encore. L’adrénaline causée par tes attouchements maléfiques circule à une vitesse lumière dans toutes tes terminaisons nerveuses, seulement traduit par ta respiration qui s’accélère d’un coup. Quand ta main atteint son petit menton belliqueux, que ton bras s’est plaqué entre ses seins ronds et duveteux, tu la fais basculer doucement sur le dos pour l’avoir enfin sous tes yeux. Putain qu’elle est belle ta rebelle, tu t’en mords même la lèvre en la détaillant dans le peu de lumière que profuse la Lune sur vos yeux qui s’affrontent. « t’es qu’une boudeuse, grimm » tu murmures, fier, agaçant. « tu le sais… quand t’es ici, tu m’appartiens entièrement » c’est ce gémissement rauque et sauvage qui te gagne soudain, détachant chaque syllabe pour y donner toute l'importance due, alors qu’elle est là, sous tes yeux, si difficilement offerte toutefois. Et parce que tu t’imposes, sans vraiment attendre de retour, tu viens prendre cette bouche trop rouge. Trop parfaite. Trop gourmande pour un pêcheur comme toi.
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MessageSujet: Re: you don't own me. sybill&cal   you don't own me. sybill&cal EmptySam 9 Déc 2017 - 13:24




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Tu restes sagementdans ton coin du lit, hors de question que tu lui fasses le plaisir de venir tout contre son corps pour dormir. S'il te veut, il va devoir te réclamer, te supplier s'il le faut ! Tu gardes bien la couette contre toi, t'enmitoufflant dedans comme dans un cocon. Sa couette est toute douce et chaude, bien plus que la tienne, t'aimes son lit, tout comme tu aimes celui de Jared. Le tient, tu l'aimes que lorsqu'ils sont là avec toi. Quand tu sens leur présence, à l'un ou à l'autre, aux deux aussi. Mais là, une fois de plus c'est une guerre qui fait rage et la bataille est encore trop présente pour que tu laisses ce petit con gagner. Pourtant tu sais qu'il finira par gagner, tu sais que tu cédera sous ses doigts, que ses lèvres te feront craquer, que son corps te donnera bien trop chaud au point de virer cette couverture. Mais tu te battra malgré tout contre tes propres envies pour le faire galérer le plus longtemps possible. Tu sens le lit bouger, il vient enfin se coucher mais il reste bien dans son coin. tant mieux, même si tu sais qu'il ne sera pas sage longtemps, il n'est jamais sage ce type. « on n’laisse pas bébé dans un coin » Tu roules des yeux, non mais voilà qu'il cite du Dirty Dancing quoi ! Tu ne savais même pas qu'il avait déjà vu ce film. Mais tu ne dis rien, tu restes dans ton coin parce que tu as bien l'intention de bouder et de le laisser mijoter encore un moment. Pourtant son souffle sur ta nuque te fait frémir. Sa présence même te fait frémir. C'est bien plus qu'une histoire de sexe. C'est comme un besoin vitale de l'avoir près de toi. Mais rapidement tu sens qu'il a franchit la limite de la couverture pour venir glisser ses doigts sur ta cuisse. Il remonte jusqu'à tes hanches encore recouverte de ce tissu noir qui galbe parfaitement tes fesses. Puis ton ventre bien plat, que tu met un point d'honneur a garder bien plat. Tu tentes de controler ton corps et ses réactions mais tu sens bien cette chaire de poule qu'il fait naitre sur ta peau. Et puis, il atteind cette poitrine découverte sans pour autant vraiment les toucher. Tu ne dis rien, tu ne bouge pas, tu reste dans ton coin sans lui répondre. Mais rapidement ses doigts attrape ton menton pour que tu tournes la tête, pour que tu bascule sur le dos et que tu croises ses prunelles enflammées. « t’es qu’une boudeuse, grimm » oui et t'es même fière de bouder actuellement. « tu le sais… quand t’es ici, tu m’appartiens entièrement » Tu lui appartient dans cette chambre. Tu appartient a jared dans la sienne, et dans le reste de cet appartement tu appartiens aux deux. Entre douceur et fougue, entre sécurité et danger. Tes prunelles captent les siennes et tu soutiens le regard, ce combat. Ton coeur s'affolle et ta poitrine le réclame déjà, tout comme le reste de ton corps. Mais tu luttes, pour ne pas simplement lui demander de te toucher. Ses lèvres s'abattent sur les tiennes et tu ne réponds pas a son baiser avant de simplement te laisser aller. tu fermes les yeux a demi, entre ouvrant les lippes pour acceuillir sa langue. Mais tu te reprends bien vite, posant une main sur son épaule pour le reculer avant de bouger pour te mettre sur le ventre, la tête dans l'oreiller. Il ne peut pas gagner si vite et si facilement.« rêves ! » que tu lances dans un petit grognement. Tu serres l'oreiller, restant ainsi a plat ventre sur le matelas.

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MessageSujet: Re: you don't own me. sybill&cal   you don't own me. sybill&cal EmptySam 9 Déc 2017 - 18:13




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Tu forces les choses, bien que tu ne sois pas aussi brut que t’habitude. Tu prends c’est certain puisque tout ce qui se trouve dans cette pièce t’appartient tant que cela reste entre ces quatre murs. Tes doigts parcourent ce corps sans toutefois s’attarder sur un but précis. Tout à coup, t’as besoin de son regard, de ses yeux belliqueux comme pour t’assurer qu’elle suivra chaque mesure que tu souhaites imposer. Tu veux qu’elle y prenne encore goût comme à chaque fois, comme depuis cette première fois où t’as décidé de tomber dans ses filets. Cette fameuse nuit qui a fait de toi l’esclave de cette machination dont tu ne peux pas accorder de nom. Alors quand tu forces ses lèvres à t’appartenir, tu sens cette petite résistance qu’elle veut encore te donner. Tu souris intérieurement car voilà qu’elle capitule pour laisser ta langue venir combattre la sienne. Et si dès cet instant, tes sens sont en émoi, ce n’est qu’un court instant puisque Sybill t’écarte tout aussi violemment en repoussant ton épaule. T’abandonnes cette bouche, à regret, en grognant. Pas content de ce revirement. Et au moment où t’allais râler, voilà qu’elle se tourne pour de nouveau rendre son dos à ta vue. Les sourcils froncés, les lèvres serrées encore déçues de ne pas avoir pu goûter plus. tes narines palpitent devant cette position qui te dit encore une fois d’aller te faire foutre. Tu pourrais exiger plus, mais quelque part tu sais que t’as pas envie de supplier. Et c’est exactement ce qu’elle attend. Tu connais Sybill car elle ne fera rien pour te faciliter la vie. Elle souhaite juste que tu rabaisses ton caquet, que tu craques la fêlure de cette perfection maladive qui t’habite. « rêves ! » qu’elle balance, le visage étouffé par le coussin. Tu sens la haine te remonter d’un coup. Si ton corps nu témoignait de l’envie que tu lui réservais en bas des reins, vaillante jusqu’alors, c’est un refroidissement total à présent qu’elle vient de te faire subir en dessous de la ceinture. Tu lèves les yeux au ciel, agacé au possible. Qu’est-ce qui t’as pris de la ramener ici alors qu’elle joue encore à faire sa dame du monde ? Son but est clair, elle veut que tu lui témoignes de l’attention. Pire, que tu te plies en quatre pour lui montrer que t’as fauté sur toute la ligne depuis que t’es rentré. Mais toi, ça te va pas tout ça. Tes yeux tombent alors sur ce dos, glissant jusqu’à la cambrure de ses reins là où la couverture vient cacher la vallée rebondie de ce petit postérieur que t’aimes un peu trop. Cette fois ta colère bifurque vers ce désir lancinant. Frustré au possible Cal. Elle est en train de te mettre sans dessus-dessous, éveillant tes instincts de fauve, cette fougue que tu ne contrôles pas lorsqu’elle est près de toi à te tester de la sorte. Tu lui en veux tellement, et ta vengeance tu la veux maintenant. Sans vraiment le commanditer, ta jambe vient alors frôler la sienne, langoureuse, vindicative. Ce n’est qu’une question de minutes, ou de seconde. Tout dépend ses réactions maintenant. Et dans un tour de force, tu viens te bloquer entre ses cuisses, plaquant ton bassin contre les fesses hypnotiques que tu viens de dévoiler de dessous les draps rien que pour toi. Rien que ce contact brûlant échauffe directement tes reins de nouveau. Un yoyo d’émotions que ton cœur subit si vivement à chaque fois que t’as l’impression qu’il va lâcher ce con. « ça t’plait de jouer les divas effarouchées hein ? » que tu souffles dans l’obscurité, ta bouche sur son oreille. C’est intense mais acide à la fois ces paroles. Tes hanches s’actionnent pour presser ton corps au sien dans cette sensualité abrupte qui vous caractérise. Tes mains quittent le matelas pour chercher les siennes sous ce coussin qu'elle a pris en otage. Tu fais glisser tes phalanges contre les siennes pour enfin serrer fortement ses doigts fin avec les tiens. Prisonnière. Si le tissu de ce dessous te barre encore la route, tu n’arrêtes pourtant pas l’ondulation de tes reins qui sont à chaque fois rappelés par les siens. « alors, grimm… » suave, félin, dangereux. Et quand tu sens son souffle réagir à ses assauts, tu sors enfin l’artillerie lourde pour lui envoyer ta réplique, pour la réveiller comme elle a osé te perturber. Car sa haine doit être identique à la tienne « j’suis pas un de tes clients du red velvet, syb… donc viens pas te dandiner ou écarter les cuisse pour ensuite me retirer la bouffe au bord des lèvres ok ? » c’est cinglant, c’est même hargneux et totalement indélicat parce qu’en plus de ça tu finis par un ricanement moqueur. Tu quittes d’ailleurs ce dos, ces fesses et ce beau déhancher qui a mimé l’illusion parfaite pour la refroidir d’un coup en la laissant seule dans son coin. Retrouvant ta partie du lit, tu glisses à ton tour « allez, rêves bébé » Tu frappes là où ça fait mal toi aussi.  T’aimes pas son taff et tu lui as déjà dit. Elle est excellente danseuse, mais tous ces yeux braqués sur elle, ça te file des idées noires quand t’y penses trop. D’ailleurs, t’as jamais mis un pied là-bas car tu sais d’avance que tu ne pourras pas te tenir correctement.  
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MessageSujet: Re: you don't own me. sybill&cal   you don't own me. sybill&cal EmptySam 9 Déc 2017 - 18:46




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Dos à lui, le ventre et la poitrine contre le matelas et tes fesses cachées par la couverture, tu boude. Tu sais bien que t'es une chieuse mais il est hors de question que tu le laisses gagner aussi facilement après le bordel de ce soir, après avoir ramener une autre fille ici, après t'avoir réveiller aussi brutalement et surtout, de ne pas avoir été là quand tu es rentrée pour lui. Donc oui, tu veux lui faire payer cette soirée et ce n'est pas parce qu'il t'a ramener dans son lit et qu'il t'a embrassé que tu vas te laisser amadouer aussi facilement. Mais il n'en reste pas là, puisqu'il te frole, te touche pour ensuite venir sur toi. Ses hanches contre les tiennes, il a même retirer la couverture pour libérer tes fesses et pouvoir en profiter. Pourtant quand tu le sens contre toi, ton corps se met à avoir de la fièvre, a chauffer brutalement et a réclamer le sien. Parce que tu sens bien, ce début d'erection contre tes fesses. Ho, tu as beau avoir calmer ses ardeurs un peu plus tôt, il semblerait que tes fesses savent y faire. « ça t’plait de jouer les divas effarouchées hein ? » Tu ne dis rien, les joues rosies par ce qu'il semble faire naitre en toi actuellement. Parce que même s'il n'y a rien, tu sais qu'il est capable de te prendre ainsi, et ça te fait un effet monstre. Tu as même arrêter de grogner, pour soupirer simplement. T'as même redresser un peu les fesses, comme pour l'inviter a continuer. Entre ta tete et ton corps y'a une grosse différence de comportement. Ses mains se glissent sous l'oreiller, serrant tes doigts entre les siens que tu serres malgré tout. Tu as beau faire la tête et etre énervée contre lui, tu ne peux pas nier le fait que tout chez lui fait réagir ton corps. Comment pourrais-tu ne pas réagir quand tu sens ses frottements sur tes fesses rebondies ? Quand il mime parfaitement ce qu'il a envie de faire alors que ta petite culotte l'en empêche encore ? « alors, grimm… » Tu frisonnes a sa voix, il sait parfaitement comment te faire réagir, comment te faire soupirer et gémir, comment te faire frisonner et frémir. Il le sait et il en joue. « j’suis pas un de tes clients du red velvet, syb… donc viens pas te dandiner ou écarter les cuisse pour ensuite me retirer la bouffe au bord des lèvres ok ? » Tu grognes alors que tu te redresses brusquement pour le regarder. Tu ne vois pas le rapport avec ton job, tu es danseuse. Tu danse uniquement, tu ne finis pas à poil sur scène. Tu peux au pire finir en bikini ou en dessous sexy mais tu n'as jamais dévoilé un téton lors d'un de tes show. Tu danse, surpendue dans le vide, virevoltant entre la soie. Alors qu'il arrête de décrire ça comme si tu n'étais qu'une vulgaire stripteaseuse ou une prostitutée. C'est un manque de respect envers ta famille, envers ta grand mère et ta soeur, envers toi et ça tu ne l'accepte de personne et certainement pas de lui. Il quitte ton dos pour retrouver sa place et tu le fixe, le regard noir. « allez, rêves bébé » Ho mais tu vas rever, dans ta chambre ! Tu grognes à nouveau et tu te redresses pour ensuite quitter le grand lit douillet. Tu ne caches pas ton corps et encore moins cette petite poitrine sensible à ses attentions, même infimes. Tu finis par quitter la pièce en grognant mais avant même de passer la porte tu te tournes vers lui pour lui montrer tes majeurs, lui dédiant ce double geste grossier en grognant un « connard ! » c'est pas la première fois ni la dernière fois que tu l'insulte ainsi. Ca a commencé ainsi entre vous, tu l'as insulté d'enfoiré ou de connard, ou autre, tu ne sais plus trop, avant de l'embrasser. mais là hors de question que tu viennes poser tes lèvres sur les siennes aussi facilement. Le temps qu'il réagisse a tout cela, tu as déjà rejoind la cuisine de l'appartement. il t'a énerver, et tu vas te servir un verre de jus de fruit pour t'apaiser. Tu aurais pu faire un chocolat chaud mais t'as un peu la fleme de faire chauffer. Donc un jus c'est bien aussi. Tu serres le poing, l'autre etant utiliser pour te servir. L'enfoiré ! Le gros con ! T'as juste envie de lui en coller une, une fois encore !
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MessageSujet: Re: you don't own me. sybill&cal   you don't own me. sybill&cal EmptyLun 11 Déc 2017 - 20:21




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T’abuses encore une fois. Tu l’sais bien au fond que t’es au bord des limites à chaque fois, que tu frôles l’irréparable pour à chaque fois aller te maudire d’avoir été si loin. Mais c’est plus fort que toi, Cal. Cette femme, dès qu’elle a posé le pied ici, tu savais déjà qu’elle te ferait vivre l’enfer. Pas celui où t’es sensé crevé comme un rat mort dès l’entrée en voyant les chaines de tortures, oh non. Avec Sybill, ce fut bien plus sinueux, bien plus gracieux, bien trop tendancieux. Et si t’as voulu mettre les barrières pour retarder l’instant, c’est en fait ainsi que t’as pris la route de braise qui aurait du te bruler les pieds dès le départ. Elle t’a tenté dès le premier regard, même si tu joues l’indifférence encore aujourd’hui. Elle a sut exactement comment te laisser le temps pour t’atteindre de plein fouet, au moment où tu t’y attendrais le moins. Et si à chaque fois tes mots sont plus acides et que ses gifles t’enflamment la peau, ce sont malgré toi des émotions incontrôlables qui t’ordonnent toujours de pousser le vice. Comme si tu voulais tenter ce diable, pour voir jusqu’où il serait prêt à aller avec toi. Car tu le sais, pauvre âme, que tu prêcherais jusqu’à la folie pour cette femme. Et ça aussi ça t’emmerde. Mais alors que tu es retourné de ton côté du lit, attrapant ce paquet de cigarette qui traine sur la table de chevet, le mouvement de la jeune femme semble venir te surprendre. Un peu hébété, tu la vois vrombir de dessous les draps. Les joues rouges, avec sa crinière noire de panthère, dangereuse et féline, tu la suis du coin des yeux. tu devines l’agacement. Bien pire que ça pourtant, tu le sens, tu le sais. T’as touché le fond. Sans pourtant t’écarter de tes projets, t’extraie une barrette de nicotine entre tes lèvres. Le « connard » qu’elle te jette ne transperce rien sur l’indifférence de ton beau visage. Pourtant c’est un nouveau coup de couteau, bien aiguisé, qui vient d’agresser tes trippes. Ton cœur ? Ou plutôt la pierre qui l’y remplace ? Alors que tu brûles l’extrémité de la cigarette avec le zippo, t’entends cette porte claquer signant maintenant qu’elle a quitté ton domaine. Sybill est passé en dehors des frontières, là où tu ne la possèdes plus, là où elle reprend toute raison et tout pouvoir sur ses choix. Elle a de nouveau l’avantage. Ce fait là, tu l’as toujours accepté. Celui de la partager. Ce fait qu’elle ne t’appartient pas vraiment. Pas du tout. Mais ce soir, il se passe autre chose en toi. Si il y a quelques temps, tu aurais fait tête fière à la laisser bouder dans son coin, cette nuit quelque chose est arrivée. Et tu te révulses à cette pensée. Tirant une grande bouffée de tabac, c’est toi qui t’extraies du lit à ton tour. Tu détestes être mis à l’écart, tu hais cette façon qu’elle a de décider pour toi. Pire tu rages rien qu’à l’idée qu’elle puisse te rejeter à même ton lit. Un plaid passe sous tes yeux et tu l’embarques en le nouant à ta taille, expirant abondamment sur ton calumet. Pourtant la nicotine n’aura aucun impact sur le flux nerveux qui dévale tous tes muscles. La lumière et le bruit t’indiquent rapidement qu’elle n’a pas rejoint sa chambre. Dans la cuisine, dos à elle, t’arrive à pas feutrés alors qu’elle semble se servir quelque chose. Quand t’arrives à sa hauteur, ton bras a déjà franchi la limite et tu lui piques ce verre de jus d’orange sous le nez. « un jus en pleine nuit, tu prends des forces pour moi ? » elle s’est retourné, coincé entre toi et le meuble de cuisine. Tu bois une longue gorgée en la fixant, les yeux rieurs malgré ce noir intense qui les tourmentent encore. Tu prends alors ta plus belle voix d’innocence pour oser « j’ai dit quelque chose de mal ? » tu sais que tu marches sur de la braise encore une fois, mais ce visage enjôleur d’acteur tu sais qu’il ne peut que l’agacer un peu plus. Puis tu fronces les sourcils, signe interrogateur cherchant ta prochaine réplique « c’est quoi déjà la phrase…y’a que la vérité qui blesse non ? » et bim. T’enfonces un peu plus, histoire de contenter ta joue gauche cette fois ? Superconnard a reprit son sourire des beaux jours.  
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MessageSujet: Re: you don't own me. sybill&cal   you don't own me. sybill&cal EmptyLun 11 Déc 2017 - 20:43




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Il va toujours trop loin. toujours. et toi t'es toujours là finalement. Ca te ronge de l'avouer mais c'est comme ça, tu ne peux pas partir. Jared ou Cal. C'est un choix impossible a faire alors si un jour on te pose cet ultimatum alors tu partirais simplement seule. C'est toujours ce que tu t'es dis concernant cette relation que tu as avec ces deux hommes. tu les aimes pourtant, pour leurs qualités mais aussi pour leur défauts sinon Cal n'aurait jamais réussi à t'avoir dans son lit, il a que des défauts ce mec ! Mais là il va trop loin. Alors tu quittes ce lit ou tu te sentais pourtant bien parce qu'il etait là, même si tu faisais la gueule. Tu quittes cet endroit, ces murs ou tout lui appartient pour rejoindre la cuisine, un terrain neutre presque. Un verre de jus de fruit pour te rafraichir les idées et te calmer mais il semblerait que cet idiot n'a pas encore finit de t'énerver. Alors il approche sans que tu ne le vois et il attrape ton verre pour en boire une gorgée. « un jus en pleine nuit, tu prends des forces pour moi ? » Tu te retournes vivement, bloquée entre lui et un meuble de la cuisine alors qu'il boit ce verre que tu avais pris pour toi. Il se moque encore de toi, mais cette fois il peut bien espérer finir la nuit avec toi, il l'a finira avec sa main droite et un porno sur ton smarphone !« j’ai dit quelque chose de mal ? » Tu grognes, t'as envie de lui en coller une. Parce qu'il joue les innocents alors qu'il est le pire des crétins. Il pense pouvoir peut etre te manipulé quand Jared n'est pas là mais il rêve bien. « c’est quoi déjà la phrase…y’a que la vérité qui blesse non ? » Qu'il recommence mais cette fois, ce n'est plus vraiment de la colère que tu ressens. T'es blasée de ce manège. Toi, dans le fond tu voulais juste passé le reste de cette nuit avec lui, rien d'extraordinaire mais il aurait pu juste t'avoir pour lui seule ce soir. Vous auriez pu faire l'amour dans le canapé ou même sur le plan de travail de la cuisine sans que Jared ne rale. Tu aurais pu faire autant de bruit que tu l'aurais voulu. Tu aurais pu juste etre dans ses bras pour dormir, poser ta tête contre son tors et sentir ses mains sur tes hanches pour t'emprisonner durant la nuit. Mais au lieu de ça, il ramene une fille à la maison, totalement ivre, lui comme elle. Et il t'insulte. te traitant comme une vulgaire prostituée et tu ne peux pas le laisser passer. Alors tu finis juste par soupirer, tes yeux pourtant dans les siens. « Si moi j'suis une pute... toi t'es quoi ? Arrête de te prendre pour un prince, Callum. » Tu parles posement, calmement et surement bien trop calme. Au fond c'est pire quand t'es calme, vaut mieux que tu grognes ou que tu hurles. En plus tu ne l'apelles que rarement par son prénom. Tu finis par le contourner, lui laissant ton verre s'il le désir pour prendre ensuite le couloir menant aux chambres et entrer dans la tienne.



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MessageSujet: Re: you don't own me. sybill&cal   you don't own me. sybill&cal EmptyLun 11 Déc 2017 - 21:58




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Avant même de prononcer cette phrase, tu sais que tu la regrettes déjà. Tu ne sais même plus pourquoi tu agis ainsi. T’as l’impression que c’est la seule manière de lui montrer que même si elle ne t’appartient pas totalement, tu veux lui signifier que t’en as rien à carrer de tout ça. Que dès que le vent tournera, toi tu seras déjà loin et que toute cette relation tu l’auras oublié. Pourtant c’est vrai, tu n’as jamais eu aucune jalousie envers Jared. Il est comme ton frère. Il est ton frère d’ailleurs, tu n’imagines pas votre relation se terminer un jour car il a toujours été là. Puis, tu sais bien qu’au final, c’est toi qui lui a piqué Sybill ou du moins qui c’est toi qui t’es ajouté dans cette relation puisqu’à la base ils formaient déjà un ‘couple’. Et peut-être qu’au fond, tu sais que cette relation n’est que de ta participation, car si tu n’avais pas flanché avec la jeune femme, ils seraient peut-être certainement mariés à l’heure qu’il est. Oui, tu ne peux t’empêcher de te dire finalement que c’est toi la dernière roue du carrosse. L’imbécile égoïste qui ne supportait pas d’avoir été mis à l’écart. Est-ce bien cela Cal ? N’as tu aucun sentiment autre le fait que d’installer ton égocentrisme pur et dur au cœur de cette relation pour ne pas te sentir lésé ? Ta clope toujours à la main, le verre de jus d’orange dans l’autre, tu fulmines toujours à l’intérieur malgré ce sourire goguenard que tu renvoies à Sybill. Elle, par contre, se fatigue sous tes derniers mots. Ca te gène, étrangement. Tu préfères quand elle sort les crocs mais ce soir il semblerait que tu sois allé vraiment trop loin. Quand tu vois le battement de ses paupières, celui qui t’indiquent clairement que tu n’arrives à la cheville de personne, ça fait hurler ton corps de l’intérieur. Si tu as toujours eu une haute estime de toi-même, te regarder avec décadence dans ces yeux là ça sonne comme le couperet avant la mise à mort. Voilà. La sentence que tu redoutes. « Si moi j'suis une pute... toi t'es quoi ? Arrête de te prendre pour un prince, Callum. » tu ne sais pas si c’est le fait de l’entendre prononcé le mot qui la qualifie de prostituée ou si c’est l’intonation sur ton prénom qui te brise d’un coup. Sybill n’a pourtant aucune fureur dans sa voix, mais cette lassitude foudroyante te fait plus mal encore. Elle finit alors par t’échapper, te laissant derrière elle pour quitter la cuisine. T’aurais pu la retenir si cette dernière lueur passive dans son regard ne t’avait pas cloué littéralement sur place. T’as reposé le verre sur le comptoir, écrasé la clope dans l’évier juste à côté. Une porte s’ouvre et se ferme sèchement. Encore une fois ce soir. Fixant ce point invisible devant toi, tout à coup tu sembles un peu perdu. Encore partagé parce que tu devrais faire et ce que tu ressens. C’est un combat de titan, comme à chaque fois. Il y a encore ces secondes qui passent, ces minutes même. Un air frais vient même te chatouiller l’échine, provocant un frisson presque d’effroi sur ton dos nu, te faisant reprendre vie d’un coup. Le peu de luminosité sur le pas de porte au sol t’indique que Sybill est retournée dans sa chambre. Ta main se lève sans toutefois effleurer le bois, stoppant tout geste pour toquer à sa porte. Qu’est-ce que tu fais Cal ? Finalement, tu te ravises, calant ton dos au mur, juste à côté de l’entrée de l’antre de la jeune femme. En face, tes yeux tombent sur la porte de la chambre de Jared, la mine morne et désabusée. T’es las soudain, toi aussi. Te voilà de nouveau pris entre tes deux feux Cal ? Serrant les dents sous ta mâchoire, t’expires longuement en fermant tantôt les paupières pour tenter de calmer cette impulsivité qui pourrait te dire d’agir d’un coup en rentrant chez elle à la volée. Mais tu en conclues que toi aussi, t’aimes pas comment les choses ont tourné ce soir. « je ne suis pas un prince. » que tu lâches en tournant à peine le visage pour destiner tes paroles à l’habitante derrière la porte. « et je n’en serais jamais un » Finalement c’est peut-être mieux de lui parler ainsi, au moins tu n’as pas à subir la pression de son regard, de son visage ou de ce corps qui te rend complètement fou. Tu reprends une longue inspiration, et cette fois toute moquerie a disparut de ce ton habituellement si joueur « il n’y a pas de contes de fée ici, Grimm. tu savais que ce serait une erreur. On peut tout effacer. Il n’y a rien de compliquer là-dedans. C’était sympa le temps que ça a duré après tout. » t’as cette boule dans la gorge mais tu veux l’ignorer. T’as ses mains qui se replient sur elle-même dont les ongles pourraient faire saigner. Tu ne laisses pas ta place non, tu pourrais t’en aller comme un ‘prince’ cette fois. Non, tu ne laisses pas ta place, car tu n’en as jamais eu.
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MessageSujet: Re: you don't own me. sybill&cal   you don't own me. sybill&cal EmptyLun 11 Déc 2017 - 22:23




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Te voilà de retour dans cette piece ou tu es reine. Tu soupires, le dos contre la porte que tu viens de refermer un peu trop séchement à ton gout. Si vous continuez ainsi vos portes ne tiendront jamais le coup. Tu fermes les yeux, quelques instants pour que ton coeur se calme. De toute les choses qu'il a pu te dire, celle-ci est bien la pire. Attaquer ton job, ta passion, alors pour lui c'est juste écarter les cuisses ? Il n'est jamais venue voir un de tes show, il n'a jamais passé les portes du Red Velvet alors comment il pourrait savoir ce que tu fais vraiment, que tu es une artiste, une acrobate et une vraie danseuse. Ca te gonfle ces critiques, ces préjugés. Et ça fait mal, surtout venant de lui, venant d'un des deux hommes qui partagent ta vie sous ce toit. Tu entends du bruit dans le couloir mais tu ne dis rien, tu ne bouge pas. Pourtant personne ne tente d'ouvrir la porte. Il n'y a que ce silence pesant entre les murs. « je ne suis pas un prince. » que tu finis par entendre à travers la cloison. Au moins pour ça vous etes d'accord, ce n'est pas un prince, ou le prince des connars c'est possible ça. « et je n’en serais jamais » Mais le ton dans sa voix te prouve qu'il n'a pas ce même aplombs habituelle, ce qu'il utilise pour t'énerver. Et ca te rend triste finalement. Tu baisses les yeux, un frisson parcourant ton dos mais ce n'est pas agréable. ce n'est pas le genre de frisson qu'il créé en te touchant. « il n’y a pas de contes de fée ici, Grimm. tu savais que ce serait une erreur. On peut tout effacer. Il n’y a rien de compliquer là-dedans. C’était sympa le temps que ça a duré après tout. » Ca te fait mal ces mots là, ton coeur se serre plus que d'habitude. T'es las de tout cela, de ces engueulades, de ces prises de becs. pourtant ca revient toujours, comme si vous n'arriviez pas à faire autrement et ça te fait chier de devoir toujours vous entre déchirer pour reussir a communiquer. Ca fait mal autant que ça fait du bien. Mais cette fois ça ne te plait pas. Tu ne veux pas qu'il parte, tu ne veux pas devoir le laisser partir, tu ne veux même pas qu'il pense a partir en fait. Tu balances la tête en arrière, le crane contre la porte encore fermer alors que tu finis par souffler « je ne veux rien effacer.. » parce que tu ne regrettes pas cette fois ou tu as craqué, tu ne regrettes pas toutes les fois où tu t'es laissé aller contre lui, ou il t'a possédé, ou il a pris le dessus sur toi. tu ne regrettes absoluement rien. Et si aujourd'hui il n'y a qu'une chose que tu regrettes, c'est bien le final de cette soirée. Tu te recule de la porte, te tournant pour faire fasse à la porte qui vous sépare, tu finis par soupire, la main sur la poignet alors que tu la tourne enfin. Tu ne l'ouvres pourtant pas encore, pas totalement. milimètres par milimètres et puis tu finis éclairé par la lumière de ce petit couloir qui mène aux chambres. Tu n'as toujours rien sur le dos, et tu viens simplement prendre sa main pour la poser sur ta hanche. « j'suis pas une pute.. ni une stripteaseuse.. suis-je bien clair ? » Mais tu ne lui laisses pas vraiment le temps de répliquer que tu te glisses sur la pointe des pieds pour venir poser tes lèvres sur les siennes. Chastement au début. Tu sais qu'il n'est pas le plus doux et le plus tendre. Mais tu veux qu'au moins il comprenne, que tu ne regrettes pas. Tu viens glisser tes bras autour de lui, et rapidement tu sautes pour aggriper tes hanches recouvert d'un plaid, avec tes jambes. Tu risque de glisser un peu mais tant pis. Ainsi, tu te retrouve un peu plus haute, et tu peux plus facilement poser tes prunelles dans les siennes, lachant ses lèvres alors que tes cheveux noirs semblent vouloir vous emmerder. « t'es qu'un connard Cal... mais t'es le mien... » et égoistement, tu partages pas.
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MessageSujet: Re: you don't own me. sybill&cal   you don't own me. sybill&cal EmptyLun 11 Déc 2017 - 23:10




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« je ne veux rien effacer.. » tu fermes une nouvelle fois les yeux en entendant Sybill te répondre. Tu ne sais pas encore si cette phrase peut te plaire, même si un petit sourire ose narguer déjà la commissure de tes lèvres. Ca te rassure ? Un peu peut-être. Peut-être qu’elle n’est pas prête encore à ce que tout cela s’arrête. De ton côté, tu imagines déjà la folie des choses si tu laissais cette place qui n’en est pas vraiment une. Tu n’as aucun droit sur elle, même si tu t’escrimes à vouloir le faire transparaitre. Mais tu te connais trop bien, tu as ta fierté et tu pourrais feindre l’indifférence totale, le dédain même si votre relation venait à mettre un point final. Néanmoins, dans l’autre sens, tu sais que tu as peur de la laisser partir. Tu n’oses même pas y croire lorsque tu le dis à voix haute, tentant de récupérer un peu d’orgueil dans tout cela. Tu refuses qu’elle te mette à la porte sauf si c’est toi qui le décide. Tout cela est trop confus, trop embrumé pour que tu ne veuilles faire de choix au final. Tu sais qu’un jour viendra le moment où tu devras reprendre ton masque, celui qui t’éloignera de tout cela et qui te montrera indifférent, inexistant à cette chose la plus douloureuse qu’on appelle : l’amour. Mais tu refuses de t’y résoudre. Tu refuses totalement de croire à de tels traitres mots. Jamais. Car il n’y a pas de place pour ce genre de faiblesse. La porte semble trembler doucement. L’hésitation règne, tu le sens. Cependant, t’es ravi de constater qu’elle veut te retenir une fois encore. L’as-tu manipulé ? Peut-être bien. T’es un bon acteur, tu le sais. Tu en joues, même avec elle. Mais cela ne fait que mieux cacher ce que tu ressens même lorsque tu la vois enfin dans l’entrebâillement. Sybill te rejoint dans le couloir, et tes yeux se perdent déjà sur ses épaules nues. Puis sur cette main qu’elle te prend pour la coller sur sa hanche. Tu frémis. C’est un éclair nerveux certes, mais une bouffée d’oxygène qui éclate comme un feu d’artifice comme à chaque fois que vos peaux se retrouvent. Bordel c’qu’elle est belle ! « j'suis pas une pute.. ni une stripteaseuse.. suis-je bien clair ? » tu fronces les sourcils. Es-tu allé si loin pour qu’elle imagine de tels propos ? Tu ne te souviens même plus de cette discussion lancée sur le volet, sans réfléchir vraiment à la portée de tes mots mais plutôt à l’impact foudroyant que tu souhaitais faire opérer. Idiot… Idiot fou qui perd son souffle dès qu’elle vient s’agripper à toi. Ce baiser léger et ses jambes fuselées qui viennent déjà t’encercler sur le plaid qui t’habillait les hanches. « t'es qu'un connard Cal... mais t'es le mien... » vos iris s’appellent, et tu restes sans rien dire à la regarder te voler ton âme une fois de plus. Ce calme fou qui fait déjà défaut avec ta respiration en marche pour la bataille. Ta poitrine explose depuis qu’elle a gravi tes épaules pour te maintenir contre elle. Ses petits seins viennent déjà agresser ton torse, et tu réprimes ce grognement sauvage qui tambourine dans ta gorge. Les mains toujours le long du corps, tu sembles encore pris dans le doute de tes précédentes questions. Mais de nouveau, il y a cette vague de chaleur qu’elle t’impose rien qu’en te regardant. Ton front vient alors se coller au sien, ton nez frottant celui de ton adversaire préféré. Yeux dans les yeux, tu lances alors ce mot, sincère ? « pardon… » ça brule tes lèvres pour juste deux uniques syllabes. Mais très vite tu sens le besoin d’ajouter autre chose comme pour te disculper « …d’avoir pris ton jus d’orange » tu finis par sourire de toutes tes dents, un peu amusé, un peu joueur. Tu t’en veux, mais c’est comme si tu ne pouvais pas te résoudre à le marquer totalement. Tes mains ont enfin pris possession de ses cuisses pour l’empêcher de glisser contre toi. Tes doigts jouent, dessinent sur le galbe parfait de cette peau si ferme. « j'aime quand t'es jalouse » que tu provoques dans un souffle, plus sérieux, plus sauvage soudain. Ca y est, la bulle est là. Celle qui vous caractérise et qui ne tardera pas à vous enfermer dans ce labyrinthe effréné que vos corps réclament déjà. ta bouche frôle la sienne dangereusement alors qu’une de tes mains remontent ses fesses pour en apprécier la forme rebondie. Tu marches, tu avances et tu lui fais rencontrer la porte d’en face pour la plaquer dessus. La porte de la chambre de Jared. La limite ? Tes yeux sont furieux, mais pas de colère. Oh non. Mais bien de cette passion qui sommeillait depuis trop longtemps maintenant. « montres-moi ce que j’ai raté bébé… »
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MessageSujet: Re: you don't own me. sybill&cal   you don't own me. sybill&cal EmptyMar 12 Déc 2017 - 0:22




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Tu lui as sauté dessus, tu l’avoues. Tes bras autour de sa nuque et tes jambes encerclant actuellement ses hanches pour t’agripper comme un koala. Mais surtout, pour sentir ton corps contre le sien et avoir un peu plus de hauteur que lui. Tu aimes cette position parce que tu adores pouvoir plonger tes yeux vers les siens, quand il doit relever un peu la tête pour te voir. Bon t’es pas très grande du coup, il doit pas lever énormément les yeux mais ca te va, ça te fait ton petit effet malgré tout. « pardon… » Tu souris, tes yeux toujours dans les siens. tu es contente qu'il s'excuse, contente qu'il comprenne que cette fois il est allé trop loin dans ses insultes. « …d’avoir pris ton jus d’orange » tu roules des yeux et pourtant le sourire reste sur le coin de tes lèvres. Il est irrécupérable et pourtant ça ne te choque pas, t'es habituée, il dit jamais qu'il s'excuse, il reconnait jamais ses tords alors pourquoi ça commencerait ce soir après tout ? Tu ne chercheras pas a lui faire payer, pas encore mais tu as le temps après tout. Tu veux juste profiter du reste de la nuit, de ses mains sur ta peau et de ces frissons qu'il fait naitre sur toi. Tu veux sentir ton cœur battre fort et ta respiration s'accélérer, tes lèvres réclamer les siennes et ta langue commencer un véritable ballet sensuel. Tu veux juste finir avec lui contre lui. « j'aime quand t'es jalouse » Jalouse ? Même pas vrai ! T'aimes pas avouer que tu es jalouse, pour toi ça va de soit qu'ils sont a toi, Cal comme Jared. Ils sont a toi et il n'y a que toi. C'est purement égoïste et tu ne devrais pas te comporter ainsi quand tu vois une autre femme, mais c'est plus fort que toi. T'as horreur qu'une autre les marques, qu'ils sentent les lèvres et les caresses des autres. Tu ne veux que ton odeur sur eux, que ton parfum, que la trace de tes lèvres dans leur cou. Egoïste. Il te garde bien contre lui, te portant pour que tu ne tombe pas et il avance jusqu'à te coller contre un mur. Contre la porte de la chambre vide de Jared. Il n'est pas là, vous ne risquez pas de le déranger après tout. « montres-moi ce que j’ai raté bébé… » Si ces mots raisonnent en toi, ce n'est rien à coté de cette lueur dans ses yeux. Cette noirceur de la passion qui l'anime, de l'envie de te posséder, de gouter chaque centimètres de ta peau, de sa fougue et de la brutalité de ses coups de reins. Tu connais ce regard, celui ou vous oubliez tout pour vous concentrer que sur le plaisir de l'autre, sur ce moment si intime où il n'y a que vous au monde. Alors tu viens de nouveau attraper ses lèvres, entre tes dents cette fois avant d’aspirer sa lippe qui te fait envie depuis qu’il est rentré. Tu te presse contre lui, ta poitrine nue et offerte se collant contre lui pendant que tes mains viennent dans ses cheveux, sur sa nuque. Mais tes doigts finissent par tirer un peu dessus pour qu’il recule la tête, qu’il l’a penche un peu en arrière et que tu puisses le regarder pleinement. Tu passes ta langue sur ses lèvres, maintenant sa tête ainsi avant de plonger dans son cou pour marquer sa peau. Tu mordilles même un peu, avant d’y passer un coup de langue


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