- philippa fern neville -
cause i remember the rush, when forever was us
before all of the winds of regret and mistrust

i. harness your blame, walk through

- âge et lieu de naissance: trente-trois ans, née un vingt-cinq avril à londres. trente-trois anniversaires, tant d'années perdues - origines et nationalité: les neville sont anglais. sa famille est établie sur l'île depuis bien des générations, et pippa n'a pas d'autre nationalité. en parcourant l'arbre généalogique, on peut y trouver des danois, néerlandais et polonais, mais ça ne l'a jamais intriguée - statut familial: unique fille biologique des neville qui vivent maintenant dans le yorkshire, elle a une soeur adoptive avec laquelle elle n'a plus vraiment de contacts. - statut civil: divorcée, et ce mot qu'elle dit ou pense mêle la liberté retrouvée à une douloureuse amertume. ses blessures ne sont pas guéries et le goût de la trahison, elle ne l'oublie pas. quinze ans après, mrs von sydow est un vestige du passé mais son alliance est toujours conservée dans un écrin, caché dans le tiroir de sa table de chevet. elle ne peut pas s'en défaire, pas encore, pas tout à fait. - occupation: depuis 2014, responsable des relations publiques de l'ONG dont elle est co-fondatrice (pour la protection de l’environnement et des littoraux). aussi bénévole au brighton animal shelter depuis l'été 2018. - cinq choses favorites: 01- la nature, sous toutes ses formes. environnementaliste convaincue, elle aime et protège ce qui l'entoure. elle a malgré tout une préférence pour la mer, qui la fascine depuis toujours. elle est bien plus heureuse ici qu'à londres, de ce point de vue. 02- les documentaires. enfin, les films en général mais surtout les documentaires. de tout. elle peut facilement s'absorber devant, et même si elle apprécie beaucoup les sorties ciné en général, c'est ce genre particulier qui a sa préférence (avec les period drama) 03- la culture française, qu'elle trouve raffinée et passionnante. elle aimerait un jour faire un roadtrip en france, à travers le pays. 04- la période de noël. elle a vécu plus de tristes fêtes que de joyeuses célébrations, mais malgré tout, ça reste l'un de ses moments favoris. les décorations, l'atmosphère féérique, la solidarité qu'engendre l'esprit de noël... 05- les romans policiers. résoudre une enquête, les frissons qui coulent dans son dos lorsqu'elle termine un chapitre, sa lampe de chevet qui reste allumée jusqu'à l'aube car elle n'a pu poser son livre avant la fin de l'enquête. - saison préférée: le printemps, la renaissance et la douceur des beaux jours - it is cold, it is cold, i've had the feeling at the heart and in the core the roots of all things but there's a bud there's a bulb it will be blooming - traits de caractères: ah. qui elle est, ou qui était-elle avant de se faner, de s'abandonner à l'écho de sa solitude? elle-même ne sait plus vraiment, et c'est la question qui l'obsède depuis que l'illusion a éclaté. qui est-elle? plus vraiment la même femme. une version flétrie de sa jeunesse, la part d'ombre de sa lumière, rien qu'une poussière d'étoile autrefois filante. certaines choses n'ont pourtant pas changé, se sont juste altérées. pippa, aujourd'hui, est discrète où elle fut un jour exubérante et ardente, passionnée, épanouie, captivant l'attention et jouissant abondamment de celle-ci. elle était appréciée, attachante, espiègle mais travailleuse, se refusant de n'être qu'une jolie poupée, se donnant toujours les moyens de ses ambitions pour réussir - une obsession, mais pas une futilité. douce, aussi, pippa, et sage, quelquefois. pas vraiment manipulatrice mais juste assez rusée pour obtenir son dû - mais elle a laissé tombé les jeux, se laissant embrasser par le courant paresseux et rassurant du quotidien. pippa est devenue secrète, fermée aux autres, ses amis, sa famille, ont progressivement arrêté de s'accrocher, de tendre inlassablement des mains qui n'étaient pas saisies. les années l'ont abîmée et l'indépendance qu'elle prônait s'est transformé en rejet, et sans filet pour amortir sa chute, elle se sent terriblement seule, et cet horrible vertige qui ne la quitte pas est son fardeau. bit of a loner, she who once craved human contact. peut-elle tomber plus bas? elle n'a jamais été fragile, pippa, pas une de celles qui ne se relèvent pas; une âme de battante et une force de coeur, mais à trop vivre asphyxiée elle s'est forgé un coeur plus dur, une âme plus rude, pour pouvoir respirer. cynique, plus qu'avant, sans toutefois se départir de son sourire et de ses convictions résolument idéalistes - save the planet, the animals, the humans. à une époque, malgré son son égoïsme protecteur (i'll always put myself first, she once said, not knowing how wrong she'd be), elle se serait mise en danger pour sauver les autres, ses proches, ses causes - d'ailleurs, c'est l'essence de son job. maintenant, elle peine à se sauver elle-même. elle rêvait de gloire et de reconnaissance, de faire de son charme un atout de reine, mais elle ne fut qu'une carte quelconque vaincue par le roi. son intelligence n'aura pas suffi à lui éviter le piège, et tout ce qu'elle a construit autour n'aura jamais pu compenser le vide que plus d'une décennie de mariage a laissé en elle. sa confiance - en elle, en les autres - est tombée en poussière, et à la place c'est une rancoeur froide et triste qui l'habite. un goût de cendres et d'humiliation, et une colère incapable de s'exprimer. elle lui en veut, elle en veut au monde entier et elle s'en veut d'avoir été si aveuglée, si faible, si... amoureuse, d'avoir attendu toutes ces années que quelqu'un d'autre serve d'étincelle pour enfin exploser, et de n'avoir rien vu, rien voulu voir. maintenant qu'elle se retrouve seule, elle ne sait pas quoi penser, comment se retrouver. les sentiments contradictoires et déchirants qu'elle éprouve, ses heures dépressives et euphoriques qui se succèdent, l'épuisent et l'angoissent. elle est au début d'une longue route, d'une nouvelle histoire et elle ne sait pas ce qu'elle doit écrire. pippa, elle a le syndrome de la page blanche pour écrire sa propre vie maintenant que pour la première fois, elle est libre de cecil. - groupe: celosia - avatar: keira knightley

ii. swing wide your crane, run me

Would you do anything for me? Buy a big diamond ring for me? Would you get down on your knees for me? Pop that pretty question right now, baby Beauty queen on a silver screen Living life like I'm in a dream

Voilà. Un sourire de satisfaction, et elle se tourne pour admirer son reflet dans le miroir. D’abord, l’allure générale. La robe semble faite pour elle – elle l’a presque été, d’ailleurs : Pippa elle-même a passé des soirées entières à broder, couper, retailler sur le modèle acheté en magasin. Pour qu’il soit unique, à son image. Elle se rapproche un peu, vérifie que sa coiffure tient, et qu’aucune marque de mascara ne déborde de ses cils. Parfait. Dans quelques heures, elle sera Mrs Von Sydow, et elle leur montrera à quel point ils se sont tous fourvoyés. Cecil est l'homme de sa vie, elle le sait - sinon, elle ne se serait jamais lancée dans cette aventure. Ce n'est pas ce que croit son entourage, pourtant. Ils ont tous tenté de la dissuader, les uns usant de persuasion, les autres de menace. He’ll break your heart. He’s not good enough. You'll be unhappy. You're being foolish. Mais Pippa ne les a pas laissé se mettre entre Cecil et elle. Il est tout ce qu’elle peut espérer, à nul autre pareil. Et le futur qu’ils s’apprêtent à construire ensemble est radieux. Elle s'en assurera.

Les premières années lui ont donné raison. Oh, oui. Cecil et Pippa, seuls au monde. Enivrés de leur ambition et leur audace; ils deviennent cette histoire qu'elle avait imaginé. Ils partagent leurs succès, tirent des plans sur la comète, visent au-delà des étoiles. Peut-être est-ce pour cette raison que Pippa ne remarque pas qu'au fil des mois, des années, avec la douceur infinie d'une brise de printemps, leur tourbillon fou s'arrête de tourner, leur mécanique déraille. Les étincelles s’éteignent, et celles dans les yeux de Cecil semblent s’être transformées en pluie de cendres. Pippa n'arrive pas à mettre le doigt sur cet étrange sentiment, mais quelque chose ne va plus. Elle fait de son mieux pour arranger les choses, pour finalement ne se heurter qu'à des échecs. Le fossé entre eux se creuse et elle ne comprend pas pourquoi elle se sent si triste après avoir brûlé d'un feu sacré pendant si longtemps. Submergée par une mélancolie dont le seul répit semble être l'énergie qu'elle consacre à son travail. Lorsqu’elle croit finir par réaliser qu'à plusieurs reprises, Cecil se lance dans de passionnantes conversations avec de très nombreuses femmes ayant toutes l'allure de reines de beauté, Pippa se dit qu’elle n’est peut être pas assez bien, pas assez jolie, pas assez maigre pour se mesurer à ses rivales. Elle ne sait pas que cela fait bien longtemps que la compétition a commencé, et qu'elle a déjà tout perdu. Alors, sans même y penser, elle se met à manger moins, et finit un beau jour par ne plus manger du tout. Mais les yeux de son époux glissent toujours sur elle sans la voir, impassibles, et ne semblent pas s’émouvoir davantage de ses joues plus creusées ou de ses poignets plus fins. Après tout, elle a toujours été mince, Pippa. On lui a dit, d’ailleurs, qu’elle aurait du, aurait pu, être mannequin au lieu de tenter une carrière d’enseignante rapidement avortée pour ensuite atterrir dans les rouages du gouvernement. En réalité, Pippa, son corps, elle ne l’aime plus. À quoi bon vouloir être vue ou (dés)habillée par et pour le monde entier si elle ne peut empêcher l’homme qu’elle aime de partir à la dérive? Le miroir ne lui renvoie jamais l'image satisfaisante qu'elle espère et s'amuse cruellement à la déformer. Insidieusement, l’ombre grandit dans sa tête, reste quand les saisons se succèdent, finit par lui donner une sensation de contrôle. Cela ne dure pas, et Pippa tombe, une fois. Deux fois. Des fois. Une visite à l’hôpital après s’être évanouie au travail et on met un mot sur son ombre. Il y a des solutions, lui dit-on, mais Pippa ne veut pas, elle ne veut pas que ça ce sache et prétend qu’elle peut gérer. Le soir, Cecil rentre mais ne semble pas inquiet, et lorsqu’elle s’apprête à lui avouer que quelque chose ne va pas, le téléphone sonne, et son mari lui demande de l’excuser. Il revient avec un sourire au coin des lèvres qui ne lui est pas destiné. « Sorry, you were saying? » « Nothing. Eveything’s fine. »

Didn't they tell us don't rush into things? Didn't you flash your green eyes at me? Didn't you calm my fears with a Cheshire cat smile? Haven't you heard what becomes of curious minds?

Elle sort de la clinique un jeudi, et le soleil l'enveloppe de sa douce chaleur. Mais celle qui l'accueille est une grande brune dont les yeux reflètent le bleu du ciel - pour une fois, ce dernier lui accorde sa clémence. Le trajet du retour est calme, le silence n’a rien d’oppressant. Le médecin est optimiste : si elle fait attention et suit les recommandations, l’ombre ne reviendra pas. Pippa est guérie, et la seule personne à connaître son secret manie le volant d’une main experte à travers Londres pour la reconduire chez elle. Pippa a préféré appeler sa meilleure amie plutôt que son époux pour venir la chercher. Elle ne sait même pas s’il a remarqué son absence, s’il a cru son excuse, s’il a le moindre doute sur le combat qu'elle a mené et failli perdre après des années de lutte. Mais les choses vont changer désormais, n’est-ce pas? Ça ne change que pour le pire, et elle ne comprend toujours pas pourquoi. Au lieu de déployer ses ailes elle se sent simplement invisible, cassée, vide. Seule sa mère s'évertue encore à l'appeler, mais cela fait longtemps qu'elles ne se sont plus vues. Pippa n'ose plus y aller depuis qu'une dispute a fait exploser l'harmonie familiale - it's him or us, et elle l'a choisi lui. Quant à sa soeur, les rares fois où elles sont en contact, Pippa ne peut pas s'empêcher de sentir une vicieuse jalousie l'étrangler parce-que la vie de sa soeur respire une authenticité que la sienne n'a pas. C'est une impasse de tous les côtés et il n'y a que l'excellence de son travail au Department of Energy & Climate Change, les félicitations de ses supérieurs et l'admiration de ses collègues pour son dévouement sincère qui la font tenir debout. Parce-que le reste est un enfer... mais elle préfère se murer dans son silence qu'elle croit digne plutôt que de n'avouer qu'une parcelle de la vérité. Plutôt que de reconnaître que c'était tous les autres qui avaient raison, et qu'elle n'a jamais fait que de mauvais choix depuis qu'elle a épousé Cecil.

Et puis il y a cette maudite question qui revient de plus en plus souvent dans les conversations, dont Pippa est lassée et frustrée de répondre toujours la même chose. Non, elle n’est pas enceinte. Elle ne le sera pas, d’ailleurs. Même avec tous les efforts du monde, même en faisant l’amour mille fois par jour pendant des années, rien ne naîtrait en elle. Elle sait. Son médecin le lui a confirmé. Elle n’a pas de vie en elle, Pippa. L’ombre n’est plus une menace pour sa santé, mais avant de partir, elle a tout mangé. Pippa n’a plus ses règles depuis des années et même si pour d’autres cela se produit quand même, pas pour elle. Elle est de ce pourcentage d’échecs de la société. Une moitié d’épouse, une femme incomplète. Alors, pour calmer les questions de son entourage (mariés depuis leurs vingt ans et toujours pas de gosse?), elle invente une autre version avec un sourire désarmant de confiance. Oh, but we don’t actually want children. We’re both very busy and our careers are incredibly fulfilling. Besides we’re happy just like that. Elle-même y croirait presque, à force. Pour se rassurer, un soir ou Cecil est avec elle, un soir ou leur intimité est possible et qu’elle est au creux de ses bras, elle lui pose la question. « Would you want to have children, someday? » La réponse exacte aux intonations perfides s’est perdue quelque part dans le labyrinthe de sa mémoire, mais la peine ressentie ne l’a jamais quitté. Pauvre consolation que celle de pouvoir continuer à répandre un mensonge qui préserve une illusion en laquelle elle seule croit encore. Elle ne saigne plus, Pippa. Y’a que son cœur qui saigne.

And now all your love will be exorcised And we will find new saints to be canonised And it’s an evensong, it’s a litany It’s a battle cry, it’s a symphony

Les cartons sont tous empilés dans son salon, et les murs encore blancs, dénués de toute décoration. Impersonnel. Ça ne durera pas, pourtant. Devant elle, une toile blanche, et aucun recoin de cet appartement n'a connu ni l'énergie sournoise de son ex-mari, ni ses trahisons. Ici, il n'y a qu'elle dans son nouveau sanctuaire. Libre. Seule. Désorientée. Pas encore prête à faire la paix avec sa colère et sa rage, cependant. Pippa n'a pas voulu compter les années perdues, son temps dans les abîmes, déplorer les pertes. Tout ce que Cecil lui a pris sans jamais rien donner. Until death do us part, fuck that. Son poison coule encore dans ses veines, elle se demande combien de temps il lui faudra pour s'en libérer. Pour oublier l'humiliation dévorante de n'avoir été qu'un pion, une excuse, une poupée de chiffon manipulée et trompée, bafouée. Elle meurt d'avoir la réponse aux questions qu'elle redoute de se poser. Elle veut savoir, ne pas savoir ; oscille entre l'envie de quitter le pays, d'abattre son ex d'un coup de fusil ou de mettre le feu à sa maison. Est-ce une folie ou une renaissance? Elle n'a pas pu se résoudre à l'avouer à sa famille. Seuls ses amis et ses collègues sont au courant, indispensable car elle ne répondra désormais qu'au nom de Neville. Elle veut enterrer Philippa Von Sydow, anéantir cette identité, ce tissu de mensonges. Ça tourne en boucle dans sa tête, et elle ne cesse de s'accuser et de s'absoudre à chaque fois - était-ce sa faute, était-ce inévitable? Quoiqu'il en soit, elle ne veut plus jamais voir Cecil. Désormais, Pippa sait - lui seul était la véritable ombre de son existence.

Les murs qu'elle a érigé autour d'elles sont immenses, et jamais elle n'aurait imaginé les avoir créé si solides. Le temps fait son oeuvre, Pippa a appris à l'accepter. À vivre seule mais plus isolée. Ça fait un an que son alliance repose hors de sa vue, ça en fera bientôt deux. La douleur a laissé place à une soif de revanche sur son passé, à un désir ardent de revivre au présent: c'est ce qu'elle s'apprête à faire ce soir. D'ailleurs, elle termine d’appliquer son rouge à lèvres lorsque le klaxon retentit dehors. « Coming! », répond-t-elle machinalement, même si personne ne peut l’entendre. Un dernier regard dans le miroir: elle est prête. Belle. Et vivante. Dans un tourbillon de tissu blanc et argent, elle attrape son manteau, ses clés et ses cigarettes et rejoint le collègue qui l’attend dehors. Une embrassade, et elle monte dans la voiture en prenant garde à ne pas froisser sa robe. Il n’est rien de plus qu’un ami de longue date qui l'accompagne ce soir: après tout, la soirée a aussi une dimension professionnelle. Il a d'ailleurs fait partie de ceux qui ont aussi quitté Londres pour Brighton, pour fonder l'ONG. C'était un projet à plusieurs mains, que Pippa a porté et dont elle a maintenant la charge de la réputation. Ça lui convient bien, elle a toujours été douée pour façonner de belles images et servir de beaux discours. Dans la rue, les portières claquent, le moteur démarre, et Pippa se laisse captiver par la nuit tombante et les scintillantes lumières de la circulation. Tout en fredonnant la chanson des Stones qui passe à la radio, son ami et cavalier pour la soirée suit la route qui les mènera au Brighton Charity Gala.  

iii. when eyes are all painted sinatra blue

- pseudo/prénom: manon - âge et pays: vingt-trois ans, en belgique pour le moment - type de personnage: prélien de @cecil von sydow - votre avis sur le forum: une petite pépite toute douce  - où avez-vous connu le forum: je m'étais déjà inscrite ici il y a quelques temps mais à cause d'un imprévu irl je n'avais jamais pu jouer donc je m'accorde une seconde chance (le forum n'a d'ailleurs jamais quitté mes favoris hihi) - autre:  

ce choix de personnage, et la belle keira.  
je te souhaite la bienvenue parmi nous.

Ce lien et Keira, ça fait trop plaisir.
Contente que tu donnes une nouvelle chance au forum, tu jouais qui ? J'ai généralement une bonne mémoire.

Re bienvenue parmi nous du coup, n'hésite pas si tu as besoin de quoi que ce soit !

très bon choix de personnage.
bienvenue parmi nous.

rebienvenue parmi nous

l'ex-femme de mon hubby. on pourra facilement se trouver un lien, du coup.
(re)bienvenue parmi nous.

bienvenue ma belle

Bienvenue ici
Keira et ce lien

la belle keira
bienvenue ici

merci à tous, tout ce love, ça fait vraiment chaud au coeur
et puis vous êtes tous beaux

@bevy welsh - je crois que mon personnage s'appelait hermia, avec jessica brown-findlay en avatar
@edgar smith - oouh yes, ça promet  
@cecil von sydow - han mais je suis tellement contente que ça te plaise so far, je te mp bientôt pour discuter de quelques détails

Je m'en rappelle, vaguement, mais je m'en rappelle. Bon retour parmi nous alors !

Rebienvenue parmi nous et très bon choix

Bienvenue ici

ce pré-lien, keira, cette plume, cette fiche, ce.. tout.
hâte de vous stalker
bienvenue par ici et bon courage pour la suite de ta fiche !

que de beauté. et de bon choix.
bienvenue parmi nous.

aw merci pour vos petits mots  

oops, j'aurai bien besoin d'un délai please je termine mes exams demain, j'aurai le temps de compléter tout ça dès que je serai libre! merci d'avance

Tu as jusqu'à dimanche, bon courage

Bienvenue avec la jolie Keira, qu'on voit bien peu !